Une rencontre opportune [Krasnyĭ Sneg]

La semaine de navigation de Sergueï touchait à sa fin. Il fit un tour de l’île pour trouver un port. Il accosta finalement dans un petit village, non loin de la capitale qui se trouvait sur la montagne un peu plus loin. Bien que l’île était assez tranquille, il préféra replier le mat et les voiles pour être sur que son bateau resterait bien là. Il laissa aussi Belyï dessus et il lui confia la mission de le surveiller en son absence. Belyï était encore faible, et Sergueï préférait ne pas attirer l’attention sur lui. Lorsqu’il descendit du bateau, il régla la taxe pour l’emplacement qu’il occupait. Cette taxe n’était pas très élevée et la personne chargée de les récupérer remercia Sergueï de sa bonté lorsqu’il vit qu’il lui laissait la monnaie. Sergueï portait un grand manteau de fourrure grise et il avait emmené avec lui quelque objet à changer ou à vendre.

Il marcha un peu dans le petit village, prenant au passage une pâtisserie à un vendeur très du port. Il remarqua alors en petit groupe de marine attendant sur le quai. Il décida de ce rapprocher pour voir ce qu’il faisait et il remarqua trois navires de la marine au loin. L’un d’eux venait en direction de l’île. En voyant cette scène, il eu tout de suite un mauvais pré sentiment. Il décida de ne pas rester dans les parages et il prit la direction de la capitale.

Bien que les routes qui y menaient étaient pavées, la boue elle y était omniprésente. Sergueï eu vite fait de salir son manteau. La route continuait un peu plus dans les terres et il arriva enfin à la capitale. C’était une ville assez simple, non fortifié, avec une grande place centrale où avait lieu tous les ans la plus grande fête de l’année, celle du Soleil, qui apparaissait ici qu’une fois par an. Plus haut sur la montagne, on pouvait voir la résidence du maire de la ville et accessoirement le maître de l’île. C’était une résidence avec de grands jardin et ayant un certain luxe. Le propriétaire des lieux était un petit noble qui voulait rendre l’île prospère. Sergueï connaissait bien les lieux puisqu’il y était déjà venu en mission pour Siberia. Il y avait aussi un avant poste de la marine, mais il était de petite taille et son colonel bientôt à la retraite. Sergueï fit alors quelques achats et revendu les objets qu’il avait emporté du bateau. Cela fait, il parti à la chasse aux informations. Il se dirigea donc vers la taverne la plus proche. Il commanda alors au barman un vers. Il prit une boisson originaire de son pays, et il eu une certaine nostalgie. Il écoutait les conversations des hommes aux alentour, alors qu’il tomba sur celle là :

« Et, je viens d’apprendre un truc. Tu sais le colonel, bin il va partir à la retraite puis son futur remplaçant et arriver. »

Il comprit alors pourquoi un navire de la marine était venu accoster ici. Il apprit aussi le grade de celui-ci : il était capitaine. Ce changement ne serait pas profitable, puisque l’actuel colonel était très souple au niveau des règles. Il prit alors la direction de la sortie, et il se fit bousculer par une jeune femme habillée de blanc qui venait de trébucher. Un garçon, qui devait avoir le même age que Sergueï l’aida à ce relevait, et ils allèrent s’asseoir. Sergueï remarqua alors le détachement de marine qui entrée dans la taverne, avec à sa tête le dit capitaine. Sergueï se cacha alors derrière la fenêtre du bar. Il écouta attentivement ce que dit ce dernier, qui venait de prendre la place de l’un des hommes au bar. Il s’était assis juste a coter des deux personnes qu’il avait croiser juste avant.

« Barman, un vers et vite. Pour moi et mes camarades, on vient fêter notre nouvelle affectation. Le marine venait de ce lever et continua : Je me présente, Carl Smith, je serais le prochain commandant du poste de la marine sur l’île d’Amé. Je vais tout faire pour que règne ici la justice. Je ne ferais pas dans la demi mesure et tout le monde devra m’obéir. »

Sergueï regarda alors les autres marines. Ils venaient tous du même endroit et travaillaient ensemble depuis pas mal de temps. L’un deux portait aussi une sacoche en cuir dont il en sorti une liasse de papier. Sergueï reconnut les avis de recherche. Il se reconnut immédiatement sur le premier d’entre eux. Il pu aussi voir sa prime qui était de 16 million de Berrys. Il écouta encore la conversation lorsqu’il entendit les marines parlaient avec leur capitaine du navire qui venait de couler sur Siberia. Leur capitaine leur dit alors :

« Si on m’avait fait confiance pour cette mission, je l’aurais arrêter celui la, moi j’y est participer à la campagne de Siberia, et je connaissait le terrain, puis leur combattant ne vale rien, je vois pas comment ce type aurait pu couler un navire à lui tout seul. Vraiment un incapable ce Walker »

Le sang de Sergueï ne fit qu’un tour, il se précitita alors vers l’entrer de la taverne, bien décidait à tuer le marine.

Siegrain et Sawako virent l’ombre d’une île se profiler au loin, ils décidèrent d’y aller pour pouvoir se reposer et chercher des vivres pour repartir ensuite en mer. En se rapprochant de l’île, il commença à pleuvoir, mais pas la petite pluie printanière, en effet c’était une grande averse comme on n’en trouve pas souvent. Quant à la température, elle n’était pas glaciale mais ce n’était pas celle d’une île estivale, Siegrain lança alors la conversation :

« On dirait qu’on est mal tombés, quelle pluie démentielle. Quelle poisse ! »

Mais en accostant sur l’île et en parlant aux habitants, il apprirent que ce n’était pas la malchance qui avait fait que le temps était pourri mais qu’il était toute l’année comme ça, excepté un jour où les habitants organisaient une grande fête. Décidemment, quelle île étrange ! Nos deux compagnons apprirent également qu’Amé (l’île en question) abritait un petit groupe de révolutionnaire dans sa capitale qui se situait dans les montagnes, à l’abri des pirates. Ils décidèrent alors d’aller visiter la capitale pour refaire le plein de vivres et, qui sait, peut-être rencontré d’autres révolutionnaires qui voudrait se joindre à eux, mais dans ce cas, il leur faudrait aussi un autre bateau, car celui avec lequel ils étaient venus pouvaient difficilement transporter plus de passagers sur de longues distance.

Ils se dirigèrent donc vers la capitale, l’île avait l’aire plutôt grande et habiter une multitude de hameaux qui étaient tous reliés par une grande route sur laquelle circulait principalement des marchands qui allaient de village en village pour vendre leurs produits. C’est cette route que Sawako et Siegrain empruntèrent pour se rendre à la capitale, une route plutôt claire et facile à suivre, il était donc difficile de se perdre même avec le mauvais temps qui régnait, mais malgré cela, Siegrain aurait été capable de se perdre si Sawako n’était pas là pour corriger les directions qu’il prenait. Cette dernière s’avérait d’ailleurs très maladroite et manqua de se casser une jambe plusieurs fois à cause de la boue,qui semblait omniprésente sur l’île et qui était due à la constante pluie. Ils arrivèrent cependant à la capitale indemne.

Une fois arrivés là-bas, ils décidèrent de se trouver une taverne pour pouvoir se désaltérer tout en espérant ne pas créer le même désordre qu’à tortuga. La première chose qui attirait l’œil était l’immense résidence qui surplombait la ville. Ce devait être le manoir du maire, qui devait être immensément riche, en effet, même si un homme avait arrêté barbe blanche et Gold Roger, il n’aurait pas pu se payer cette résidence avec tout l’argent récolté. En parcourant la ville, ils s’arrêtèrent la taverne du tigre blanc, qui semblait à leur goût.

En y entrant, Sawako trébucha une fois de plus et renversa un homme bien mystérieux. Il était encore plus cagoulé que Siegrain et on distinguait à peine ses yeux, il semblait légèrement plus vieux et plus grand que Siegrain. Sa cagoule laissait paraitre une mèche de cheveux grisâtre ainsi que ses yeux d’un pur gris. Sa grande taille le rendait d’autant plus impressionnant qu’il possédait déjà une musculature plutôt imposante. Malgré que Sawako l’ait bousculé, son visage n’avait pas changé d’expression et il ne semblait pas énervé. Siegrain l’aida gentiment à se relever en lui souriant puis adressa la parole à l’homme :

« Excusez la, elle est plutôt maladroite et ne fait que de tomber depuis qu’elle est arrivée sur l’île. »

L’homme acquiesça puis continua son chemin. Ils entrèrent en même temps qu’un groupe de marine, qui possédait à sa tête un capitaine. En écoutant leur discussion, Siegrain comprit qu’en fait les marines avaient à leur tête un colonel et que ce colonel partait à la retraite et cédait sa place au capitaine ici présent. Ils allaient donc fêter la retraite du colonel et la promotion du capitaine. Dans la taverne était affiché les tous nouveaux de recherche, Siegrain pu voir que l’homme que Sawako venait de bousculer avait une prime de seize millions de berrys sur sa tête.

A peine nos deux amis étaient assis que revenaient l’homme qu’ils avaient déjà croisé à l’instant, il se dirigea vers les marines, cette fois les yeux rouges de colère et les veines prêtent à exploser. Qu’avait pu faire les marines pour le mettre dans cet état, il s’était fait bousculé sans rien dire et par conséquent semblait plutôt pacifique. Mais peu importe, Sawako et Siegrain venait de semer la pagaille dans une taverne de Tortuga et voulaient donc se reposer tranquillement dans cette taverne, ils ne voulaient donc pas être dérangés. Ils se dirigèrent vers l’homme en furie et Siegrain lui dit :

« Ecoute, je ne sais pas ce que t’on fait ces marines mais nous on voudrait pouvoir boire un coup sans se retrouver à chaque fois au milieu d’une bataille. Alors calme toi et viens plutôt t’assoir avec nous et discuter calmement de ce que t’on fait ces marines, d’accord ? »

Après plusieurs jours à naviguer sur North Blue, Sawako et Siegrain trouvèrent enfin une terre non loin. Il décidèrent d'y accoster afin de se reposer après les événements de Tortuga. Une averse de forte intensité s'abattait alors sur l'ile de Amé, mais ce ne fut que plus tard qu'ils apprirent que cette île ne connaissait le beau temps que une fois par an. Les routes de l'ile étaient particulièrement dangereuse car boueuse, il avait certes des parcelles enfonce dans la boue pour ne pas tomber mais cela n’empêcha pas la jeune révolutionnaire de tomber de nombreuses fois à tel point que ses vêtements blancs n'étaient plus du tout blanc. De plus, son compagnon ne faisait pas mieux car il se trompait sans cesse de chemin rendant les choses encore plus compliqué. C'est à ce moment que la jeune fille trébucha encore mais cette fois si elle bouscula un homme avec. Elle était toute gêné et se mit à rougir tout en s'excusant avec maladresse.

- J~Je suis... vraiment désolé !

Bizarrement ne semblait pas plus en colère que ça ce qui au fond rassurer la jeune fille vu le physique de l'homme. Soudain un groupe de marine arriva et entrèrent dans le bar juste à côté. L'homme qu'elle avait bousculé se cacha alors derrière la fenêtre du bar et semblait écouter la conversation des marines. La jeune fille curieuse s'approcha de Serguei et lui chuchota discrètement.

- Je sais que je devrais m'occuper de mes affaires mais... vous faites quoi ?

C'est alors que Siegrain lui fit signe de rentrer dans la taverne et elle n'attendit pas la réponse de son interlocuteur, elle s'assit en face de Siegrain et regarda l'état de ses vêtements. Elle se plaignait qu'il était foutu puis regarda en direction des marines. Elle vit alors l'avis de recherche de l'homme de toute à l'heure, 16 000 000 de Berrys. Elle ne savait pas ce qu'il avait fait mais ça semblait plutôt sérieux. Les marines quant à eux continuaient de parler. Soudain Serguei semblait être énervé et arriva dans la taverne en se dirigeant vers les marines. Siegrain tenta de l’arrêter et Sawako le rejoignit.

- Siegrain a raison ! De plus, vous risquer juste de vous faire tuer la dedans !Il a trop de marines ! Je sais pas ce qu'il vous en fait

Lorsque que Sergueï entra dans le bar, les deux personnes qui l'avaient bousculé juste avant l'accostèrent. Le garçon lui dit d'un aire agacé :

« Écoute, je ne sais pas ce que t’on fait ces marines mais nous on voudrait pouvoir boire un coup sans se retrouver à chaque fois au milieu d’une bataille. Alors calme toi et viens plutôt t’asseoir avec nous et discuter calmement de ce que t’on fait ces marines, d’accord ? »

Et la fille répliqua aussitôt :

« - Siegrain a raison ! De plus, vous risquer juste de vous faire tuer la dedans !Il a trop de marines ! Je sais pas ce qu'il vous en fait ! »

Les trois personnes restèrent debout encore durant une longue minute. Sergueï répondit enfin à lors à leur invitation et les suivi jusqu'à leur table. Un garçon prit la commande de Sergueï et il fixa ses deux compagnons. Il leur raconta alors son histoire et pourquoi il voulait tuer ce marine:

« Je m'appelle Sergueï Manakov, je suis un officier de l'armée de Siberia, mais il y a quelque temps, la marine a lancé une attaque sur mon île est l'a ravagé. Cet officier de marine assis au bar est l'un de ceux qui l'ont attaqué. Je ne peux pas supporter de voir des survivants de cette attaque, surtout que celui-ci ce vente des massacres qu'il a fait. »

Sergueï continua alors sa présentation auprès de ces deux personnes dont il ne connaissait rien, mais qui dégagé une aura de confiance. Sergueï les invita alors à se présenter comme il vennait de le faire. Ils le firent alors et il apprit sur eux leurs nom et leur qualification. Le garçon s'appelait Siegrain et était cuisiner, quand à la jeune fille il appris qu'elle était médecin et qu'elle se prénommait Sawako. Durant leur conversation, Sergueï ne cessa pas de les étudier et il en déduit d'eux qu'ils étaient aussi de redoutable combattants. Une idée lui apparu alors, il devait les recruter pour son équipage car leur qualité lui serait d'une grande aide. Les marines étaient parti depuis longtemps et Sergueï était redevenu calme. Mais bientôt le patron les chassa du bar où ils étaient assis. Sergueï proposa leur alors de venir sur son bateau qui était amarré dans la ville portuaire en contre bas de la capitale. Il acceptèrent l'invitation et ils se dirigèrent vers la petite ville. Il remarqua alors quelque chose chez ses deux personnes : Siegrain avait un sens de l'orientation médiocre et Sawako était maladroite. Ils arrivèrent enfin au port et Sergueï prit soin de ne croiser personne car on pouvait voir sur le panneaux des avis de recherche sa tête mise à prix 16 million de berrys, ainsi que celle de ses nouveaux compagnons pour 8 millions chacun. Il eu alors confirmation de ses déduction qu'il avait eu durant la soiré au bar.

Ils ne marchèrent pas plus longtemps dans le port et ils arrivèrent bientôt sur le quai. Là dormait la personne à qui Sergueï avait payé la taxe d'amarrage et il espérait que celui-ci ne l'avait pas reconnu. Mais quelque chose d'anormal c'était produit ici. Il manquait quelque chose dans ce qu'il pouvait entendre et il ne lui fallu pas longtemps pour découvrir de quoi il s'agissait : il n'entendait plus les pas de Belyï sur le pont du navire. Il s’en tressa alors de monté sur le bateau. C'est a ce moment là qu'il ressenti la présence d'un homme. Il fonça sur lui et le plaqua alors au sol, prêt à le tuer !

Après un long moment d’hésitation où ils restaient debout au milieu du bar, Serguei finit par accepter la proposition qui lui avait été faite. Une fois assis, Serguei expliqua alors d’où ce sentiment de rancune puisait sa source, les marines avaient attaqué son île natale et avait massacré tous ses habitants, autrement dit sa famille, ses amis, ce qu’il avait de plus cher au monde, le laissant alors seul, c’est d’ailleurs ce même sentiment de solitude qu’avait ressenti Siegrain en perdant son grand-père. Dégoûté par les paroles du marine, Siegrain ne put que répondre :

« Et dire que ces gens-là sont sensés se battre pour un monde juste. La justice ne peut régner dans ce monde tant qu’il est dirigé par de telles pourritures. Le pire dans tout ça, c’est qu’en plus de commettre les pires atrocités, ils s’en vantent encore et attendraient presque une médaille pour leur geste. Ces gens-là ne méritent pas de vivre ! »

Chaque mot qu’ajoutait Siegrain à son discours lui donnait de plus en plus envie de se lever et d’aller achever ce groupe de marines n’ayant aucune morale, cependant il se retint, en effet il ne voulait pas provoquer le même chahut qu’à tortuga et avait accosté cette île avec le désir de prendre un peu de bon temps.

Suite à ça, les trois personnages se mirent à discuter de tout et de rien et apprirent à se connaître, Siegrain raconta son passé a Serguei, comment son grand-père s’était sacrifié pour leur liberté, au fond, ils partageaient la même plaie, à l’exception que Serguei n’a pas vu un de ses proches mourir mais tous les siens.

C’est alors que s’éveilla en Serguei un grand intérêt pour Siegrain et Sawako. Il leur proposa alors de rejoindre son équipage. Ce pourrait être intéressant, car ils luttaient tous pour la même cause en quelques sortes, Serguei avait ce dont on avait besoin, c'est-à-dire un bateau et il lui fallait surement un docteur et un cuisinier. Siegrain et Sawako finirent par accepter et ils se mirent tous les trois en route vers le navire.

C’était un bateau de taille moyenne, qui était plutôt fin et effilé ce qui devait lui permettre d’atteindre une grande vitesse tout en gardant une certaine maniabilité. Nos trois amis pouvaient facilement fuir une attaque de marines ou de chasseurs de primes avec un tel engin. Il semblait également très robuste et conçu pour essuyer les pires tempêtes de grandline. Il était surmonté au milieu par deux gigantesques voiles qui devait lui permettre de belles accélérations. Cependant, il ne possédait en contre partie aucun système d’attaque et n’avait à son bord aucun canon.

En s’approchant du bateau, ils virent une ombre qui semblait analyser de près le navire. Serguei, fou de rage, lui sauta dessus près à lui trancher la gorge. Mais qui était donc se visiteur nocturne aussi intéressé par le bateau de Serguei ? Un voleur ? Où un chasseur de prime ayant vu que le bateau appartenait à Serguei, il serait par conséquent intéressé non pas par le bateau mais par la prime non négligeable de seize millions de berrys du jeune révolutionnaire et admirait juste son embarcation en l’attendant.

La jeune femme était contente d'avoir pu empêcher un bordel sans nom dans la taverne de l'ile d'Amé car contrairement à Tortuga des innocents pourraient en subir les conséquences. Elle écouta ensuite la présentation de l'homme qui se nommait Serguei. Entendre son histoire l'avait bizarrement rappelé son passé à elle même si son ile natal avait pas été détruite au final. Au final les deux, même les trois, avaient été victime de la corruption des marines. La "justice" quel grand mot pour une institution qui ne la respecte même pas. Cela la rassurer de voir que où qu'elle aille des gens comme elle exister. C'est alors que l'homme leur proposa de faire partie de son équipage, Sawako n'étant pas contre accepta.

- C'est une bonne idée ! Je veux vous rejoindre ! On montrera la vrai justice au monde !

Elle suivit Siegrain et Serguei jusqu'au bateau. Pendant le trajet, elle vit les affiches de recherche et vit que Siegrain et elle même avait une prime de 8 millions de Berry mais cela ne semblait pas réjouir plus que ça la jeune fille qui aurait préféré agir dans l'ombre sans se faire remarquer. Une fois devant le bateau de taille respectable, ni trop grand, ni trop petit. Cependant il n'avait pas l'air d'un bateau de marine ou de pirate vu l'aspect. Il semblait appartenir à une personne plutôt riche. Sawako comme elle est croyait que Serguei était un riche.

- Whaaaaa ! Tu diriges quoi comme pays ?

Soudain une ombre attaqua Serguei. La jeune fille réagit au quart de tour et sortie son épée pret à attaquer si son capitaine le lui demandai.

Après avoir longtemps parcouru la mer et échappé de peu à ses poursuivants, Akito vit enfin l'ombre indistincte d'une île à l'horizon. Elle semblait par ailleurs couverte d'immenses nuages noirs menaçants. Au fur et à mesure qu'il s'approchait, il put découvrir l'environnement particulier de cet endroit. Sur tout l'île il pleuvait averse, le ciel gris terne avait quelque chose de déprimant. En longeant la côte il fini par apercevoir un port où les vagues se fracassaient sur des digues de béton. Celles ci protégeaient le port en lui même où plusieurs bateaux étaient amarré. Bien que le soleil n'était pas visible mais il semblait déjà décliner. En effet le ciel s'était assombrit. Il accosta et se dirigea vers l'homme qui semblait s'occuper de la taxe d'amarrage et le paya.

- Bonjour ! Je ne sais pas vraiment où je suis pouvez vous me renseigner sur cette île et m'indiquer l'auberge la plus proche ?
- Eh bé, t'es sur l'île d'Amé mon coco. Ici c'est pluie toute l'année sauf un jour ! Et euh... Y a pas d'auberge dans ce village faut monter plus haut dans l'île. Sinon y a un bar si ça t'intéresse. Tu peux pas le louper crois moi !

Akito le remercia et se mit en marche. La boue plus collait aux chaussures et il eut vite les mollets totalement dégueulasse.
Le bar était en effet immanquable car c'était le seul bâtiment éclairé suffisamment pour qu'on puisse le repérer de loin.
Le jeune homme décida de s'y arrêter afin de prendre un bon repas comme il n'en avait pas eut depuis longtemps. Puis il se balada. Quelques marchands étaient encore ouverts mais la plupart fermaient, il était l'heure. Akito eut cependant le temps d'acheter de la nourriture et de l'eau avant de finir par rejoindre son bateau pour tout déposer.
Oppressé dans sa cabine il décida d'aller visiter le port et observer les bateaux qui s'y trouvaient.

Il y avait essentiellement des bateaux marchands où de pêche. Rien qui ne l'intéressait vraiment. Jusqu'à qu'un navire attire son attention. Il n'était pas forcément grand ni petit non plus. Plutôt de type riche il était d'une belle facture et solide pour naviguer sur les mers agitées. Akito monta à bord pour mieux évaluer la valeur ce bateau. Un grognement derrière lui se fit entendre. En se retournant il vit un gros tigre en position de combat. Le révolutionnaire, ne voulant pas faire d'histoire avec le propriétaire mais tenant à la vie quand même sortie son épée. Le fauve bondit mais Akito l'évita souplement avant de l'assommer avec le plat de l'épée.

- Fait dodo mon beau, dit-il en le mettant de côté pour ne pas gêner le passage.

Après avoir fait le tour du pont principal une ombre l'attaqua et le plaqua au sol.

- Euh doucement là ! Je ne vous veux aucun mal et je ne veux pas toucher à votre navire je vous le jure.

En disant ça il leva les mains vers sa tête, près à prendre son épée au cas où...

Sergueï était prés, il tenait fermement son adversaire au sol et celui-ci ne pouvait plus bouger. Il avait un poignard dans la main gauche qu’il avait placé sous la gorge de l’homme. Il essaya de porter ses mains à la garde de son épée mais Sergueï l’en empêcha. Il lui beugla alors :

« Que fais tu sur mon navire ? Tu viens le voler ou c’est pour me tendre une embuscade pour me capturer et empocher la prime de 16 millions de Berry ? »

L’homme lui répondit alors :

« Euh doucement là ! Je ne vous veux aucun mal et je ne veux pas toucher à votre navire je vous le jure. »

Sergueï le fixait toujours droit dans les yeux et il constata que l’homme disait la vérité. Il lâcha alors prise, mais avant que l’homme ne puise ce relever, il assaini un coup de point qu’il ne pu ni éviter ni parer. Sergueï lui dit alors :

« Ca, c’est pour être monté sur mon navire sans ma permission, mais surtout, tu as de la chance, je suis dans un bon jour et j’ai déjà une personne sur qui passer mes nerfs. Mais si par malheur, tu attaques encore une fois Belyï, creuse ta tombe avant ! Je me suis bien fait comprendre ? Pour accompagner ses propos Sergueï lui lança un regard glacial, lui montrant qu’il n’hésiterait pas une seule seconde. Il se tourna alors vers Sawako : Pourrais-tu t’occuper de Belyï, mon tigre. Il doit n’être qu’assommer, mais il porte encore les marques de son précédent combat et je voudrais m’assurer qu’il se porte bien. Puis ce tournant de nouveau vers l’inconnu : Je ne sais pas qui tu es, ni dans quel camps tu es, ni même quel sont tes qualifications, mais vu que tu es recherché, il lui tendit un avis de recherche qu’il sorti de son manteau, je te propose de continué avec nous, heu …, il regarda le nom qui était inscrit dessus, Akito Soma. »

Sergueï n’attendit pas la réponse et s’engouffra dans la cabine du bateau. Il regarda par-dessus son épaule pour voir qui le suivait et il fit tout de même une visite guider de l’intérieur. Il laissa ses nouveaux compagnons s’installer et il alla dans la véranda où il avait mit Belyï qui dormait maintenant. Il voulut admirer les étoiles, mais les énormes nuages de pluie qui étaient au dessus d’Amé l’en empêcher. Il s’endormit finalement, blotti contre Belyï.

Au petit matin, il fut réveillé par une odeur de nourriture cuisinée. Jamais Sergueï n’avait pu sentir pareil fumé, excepter dans les cuisines de son père. Il descendit alors dans la cuisine où l’attendait son nouvel équipage. Sergueï les salua et tous lui répondirent. Siegrain servit alors le petit déjeuner et tout le monde y fit honneur. Une fois rassasier, Sergueï alla se préparer. Lorsqu’il eu finit, il prit la direction du pont et lorsqu’il passa devant le reste de l’équipage il leur dit :

« Il me reste encore une chose à accomplir ici, je ne partirai pas sans l’avoir fait. Je vais tuer ce capitaine. N’essayez pas de me retenir, je ne vous veux aucun mal, mais si vous voulez m’accompagner, vous êtes les bienvenus. Si jamais je dois mourir lors de ce combat, promettait moi de veiller sur Belyï et sur le bateau. »

Sergueï prit alors la direction de la capitale d’Amé, plus déterminait que jamais. Il tuerait cet homme qui avait massacré les habitants de son île coûte que coûte.

Siegrain était près à dégainer son épée sur ordre de leur nouveau capitaine. Cependant, il n’en eut besoin, en effet Serguei avait plaqué l’inconnu au sol et le menaçait avec u n poignard. Puis, la tension baissa d’un cran quand l’inconnu dit qu’il ne nous voulait aucun mal. Et sans aucune transition, en sortant un avis de recherche de son manteau, proposa à l’inconnu de se joindre à nous, il accepta sans hésiter. Siegrain ne put s’empêcher de se demander combien d’affiches cachait Serguei sous son manteau et laissa alors s’échapper un léger rire. S’il fallait en croire l’affiche l’inconnu répondait au nom d’Akito.

Il avait assommé le tigre « de compagnie » de Serguei et, par conséquent, Sawako devait à présent s’improviser vétérinaire. Siegrain s’installa dans sa cabine qui était plutôt confortable. Une fois ses affaires posées, il sorti sur le pont pour admirer le ciel nocturne, une de ses grandes passions, cependant les étoiles étaient cachés par les sombres nuages qui encerclaient l’île. Siegrain s’en alla alors dans ses pensées, il avait trouvé des compagnons qui avaient subi un traumatisme similaire au sien, et qui luttait pour un même but.

Il jeta alors un œil autour de lui, Serguei s’était endormi auprès de son tigre, qui semblait être son plus cher ami et le seul souvenir de son île natale qui fût détruite par les marines. Le tigre semblait plutôt féroce, et ne se laissait pas trop approcher par quelqu’un d’autre que Serguei. Cependant, Siegrain espérait pouvoir tisser un lien avec l’animal, en effet ce dernier affectionnait particulièrement les tigres, ces animaux si dangereux mais d’une telle beauté que le risque encourue pour l’apprivoiser valait le coup, de plus, c’est un compagnon d’une fidélité sans pareil et qui sera protéger son maître. Si Siegrain devait avoir un animal, ce serait un tigre, puis, en y repensant, Siegrain se dit qu’en plus de son passé, il partageait plein de points communs avec Serguei. Il allait donc définitivement se plaire sur ce bateau.

Siegrain se réveilla avant tout le monde, perdu dans ses pensées, il s’était endormi sur le pont. Il en profita pour préparer le petit déjeuner pour qu’il soit servi lorsque les autres se réveilleront. Il alla donc en cuisine et enfila son tablier. Lorsque Serguei se réveilla, il était alors bercé par les fines odeurs de la cuisine de Siegrain. Il arriva dans la cuisine radiant, sans doute avait il été agréablement surpris de l’attention de son cuisinier. Il salua alors Siegrain qui lui répondit alors. Puis tout le monde se mit à table. Une fois le petit-déjeuner terminé, Serguei repris un air sérieux, et dit alors d’un ton sec et déterminé :

« Il me reste encore une chose à accomplir ici, je ne partirai pas sans l’avoir fait. Je vais tuer ce capitaine. N’essayez pas de me retenir, je ne vous veux aucun mal, mais si vous voulez m’accompagner, vous êtes les bienvenus. Si jamais je dois mourir lors de ce combat, promettait moi de veiller sur Belyï et sur le bateau. »

Siegain répondit alors immédiatement sans hésiter :

« Je viens avec, si tu dois risquer ta vie, c’est avec moi. Surtout si c’est pour donner une bonne leçon à des marines corrompus jusqu'à la moelle, on va leur montrer de quem bois on se chauffe »

Ils se mirent alors tous en route vers la capitale d’Amé dans le but d’attaquer la base marine. L’atmosphère devenait de plus en plus tendue au fur et à mesure qu’ils s’approchaient de la capitale, Siegrain savait que leur base était plutôt réputée et que personne n’avait tenté de l’attaquer jusque là, de plus, leur nouveau dirigeant était un capitaine, rang plutôt haut placé dans la marine, il ne serait par conséquent pas un ennemi négligeable. Mais Siegrain avait confiance en son capitaine, et si quelque chose devait lui arriver, il serait là pour le venger. Le chemin parut interminable, mais ils finirent par arriver à la base marine, les marines étaient en train d’admirer un criminel mourir de faim sur un poteau tout en dévorant avec provocation leur déjeuner. C’est alors que Siegrain lança une attaque sur ces pourritures plus cruelles les unes que les autres. Les marines comprirent alors qu’il ne s’agissait pas d’une simple visite.

Akito suivit les autres à l'intérieur. Il fut le dernier à entrer, contemplant encore et toujours le navire. L'intérieur laissait une impression de grande richesse et le jeune homme si se navire appartenait à son nouveau capitaine ou s'il l'avait volé. Il l'avait déjà vu sur un avis de recherche. Il s'appelait Serguei. Et d'après les rumeurs qui couraient il était un révolutionnaire, comme lui. Tant mieux ça simplifierai les choses. Il n'avait nullement l'intention de devenir pirate de tout façon. Et puis marine.... C'était même pas la peine d'y penser car il ne ferai pas très long feu.... Il était un fugitif de toute façon nan ? En explorant le bateau il tomba sur une chambre vide et décidé de l'investir. Il posa ses affaires sur son lit et observa les alentours. C'était une pièce joliment meublée et intelligemment agencée. Bien qu'il décela quelques détails qu'il améliorerai quand ils seront sur la mer à naviguer. Il redressa un tableau qui était penché, surement dut à la houle. Il représentait une vaste campagne avec un pré et des chevaux. Les bêtes étaient en train de brouter l'herbe verte.
Il ressorti de la chambre et lança avant d'aller sur le pont.

- Je reviens je vais chercher des affaires !

Il descendit du bateau et se dirigea vers le sien. Il devrait surement l'abandonner par la suite. Il fit donc le tour et récupéra tous ses objets de valeurs ainsi que ses outils de charpentier. Il mangea le reste de son pain qui trainait sur la table et fit un dernier tour pour bien vérifier qu'il n'avait rien oublié.

- Bon je crois que c'est bon.

La pluie tombait toujours drue dehors et ses cheveux lui cachèrent vite la vue, malgré son bandeau pour les retenir. Il revient de nouveau à sa nouvelle demeure chargé comme une mule avant de se hisser difficilement à bord. Il se déchargea dans sa chambre et continua sa visite. Au moins maintenant il visitait le bateau légalement. Il y avait plusieurs chambres dont certaines occupées par ses nouveaux compagnons s'il en croyait le son qui en sortait. Puis tomba sur des WC. Mais pour des WC c'était de sacrés WC, tout en marbre. Il continua et poussa la porte du fond et atterri dans la salle de bain. Elle aussi très luxueuse. Il y avait plusieurs douches au fond, des éviers sur les côtés et une grande baignoire au centre de la pièce. refermant la porte derrière lui à clé il commença à se déshabiller. Il voulait tester le matériel du bateau. D'autant que sa traversé sous la pluie avant l'avait congelé. L'eau coulait sans soucis, chaude, créant rapidement de la vapeur dans la pièce. De l'eau douce bien sur. Akito en déduisit qu'il devait y avoir un système de recyclage d'eau au fond du bateau et se promis d'aller l'inspecter dans les prochains temps. En ressortant, frais et propre, il alla dans ce qu'on pourrai appeler une salle à manger. Une grande véranda éclairait la pièce. Serguei dormait contre son tigre. Il fit un rapide tour sans faire de bruit afin de ne pas les réveiller.
Puis Akito retourna dans sa propre cabine avant de s'allonger sur le lit et s'endormir. En s'éveillant le lendemain, ayant passé une excellente nuit, il retourna sur le pont prendre l'air. Son nez lui indiqua que le repas était prêt. Il descendit dans la cuisine et observa Siegrain en train de cuisiner.

- Ca sent bon dit donc !

Il aida à mettre la table et s'assit quand Sawako entra.

- Bien le bonjours belle demoiselle !

Il se présentait quand son capitaine entra à son tour dans la pièce.

- Bonjour capitaine !

Ils mangèrent ensemble, un excellent repas comme cela faisait longtemps qu'il n'avait plus mangé. Puis à la fin quand les couverts se posèrent et que les verres furent vides Serguei leur annonça :

- Il me reste encore une chose à accomplir ici, je ne partirai pas sans l’avoir fait. Je vais tuer ce capitaine. N’essayez pas de me retenir, je ne vous veux aucun mal, mais si vous voulez m’accompagner, vous êtes les bienvenus. Si jamais je dois mourir lors de ce combat, promettait moi de veiller sur Belyï et sur le bateau.

Il regarda Siegrain qui répondit qu'il le suivait avant de répondre à son tour :

- Moi aussi je te suis. Ce dont j'ai le plus horreur c'est les marines corrumpu.

En disant ces mots son point de ferma involontairement et son regard ce durcit.

- Tu peux compter sur mon soutient !

Il quittèrent le bateau pour prendre la direction de la base navale. Tous marchaient d'un pas déterminé. La pluie ne les ralentissant pas. Arrivé à destination il sortit sa grande épée. La pointe dégoulinait déjà d'eau mais il n'y prit pas garde. Prêt à combattre. Siegrain lança la première attaque. Les marines répliquèrent et Akito était prêt à les accueillir comme il le faut.

Sawako regardait l'inconnu , qui semblait s'appeler Akito. Il ne semblait pas si agressif au final, il observait juste le besoin pour quelles raisons, elle ne savait pas. Serguei lâcha le jeune homme en comprenant qu'il ne leur voulait pas de mal puis demanda à la jeune fille de soigner son animal compagnie qui n'était d'autre que ... un tigre ! La révolutionnaire n'était pas un vétérinaire mais ferai de son mieux pour soigner la bête. Elle se mis à genoux devant elle et regarda sa blessure et sortit de ses poches une herbe et l'appliqua sur les blessures. Cette plante permettait de cicatrisé plus vite les blessures mais ce la marchait mieux sur les humains. Elle ne pouvait hélas pas faire mieux pour l'instant. Ensuite il allèrent tous à l'intérieur du bateau. Sawako choisi une cabine, la chambre était certes petite mais luxueuse. Elle alla prendre une douche et en profita pour laver ses vêtements plein de boue à l'ancienne. Ensuite elle se jeta sur son lit et s'endormit paisiblement.

Le lendemain, Sawako se releva et avait les cheveux tout décoiffé, elle les coiffa vite fait puis alla rejoindre les autres. Une odeur des plus sublime se fit sentir, elle vit alors Siegrain en train de cuisiner ce qui l'étonna. En général, pour elle, c'était les femmes qui cuisiner. Elle apprécia donc que ce dernier cuisine. Elle s'installa à table quand Akito la salua très poliment.

- Bonjour Akito ! bon appétit à tous !

Elle commença à manger le petit déjeuner préparé avec soin de Siegrain. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas manger quelque chose d'aussi bon. C'est alors que Serguei, son capitaine désormais leur annonça qu'il comptait aller voir les marines afin de leur donner une bonne leçon. Sawako regarda ses compagnons et voulaient également les aider surtout que les marines corrompus elle ne supportait pas ça.

- J~Je viens aussi ! Beylï peut se défendre seul sa blessure à bien cicatriser.

La jeune fille suivi ses compagnons, ils arrivèrent devant la base des marines où il torturait un criminel d'une manière plutot inhumaine et dire qu'il représentait la "justice". Il avait il une quelconque justice dans tout cela. Sawako vit Siegrain attaquaient les marines d'une immoralité rarement vu. Elle sortit son sabre et se prépara à la contre attaque.

Ils continuèrent leur route vers la base de la marine. Tous les nouveaux nakamas de Sergueï avaient répondu présent et le groupe filait sur le chemin boueux. Cette fois Siegrain n’avait pas eu de problème d’orientation et Sawako ne manqua pas finir dans la boue. L’atmosphère qui se dégageait du groupe fit s’en allait plusieurs badaud qui traînaient dans la rue. Les gens comprirent en les voyant que quelque chose allait bientôt se produire et qu’il fallait rester à l’écart. On se barricada dans sa maison, fermant les portes à clé et les volets. La ville devient rapidement desserte et un lourd climat s’imposa. La pluie rendait encore la scène plus menaçante surtout qu’un orage éclata à se moment là.

Les éclairs illuminés le groupe par intermittence les rendant encore plus terrifiant. Akito avec sa grande taille et surtout son énorme épée dans son dos. A coter de lui se tenait Sawako. Elle était la plus petite du groupe bien qu’elle soit plus grande que la moyenne. Cela ajouter à la détermination qui se lisait sur son visage la rendait intimidante. Siegrain se tenait de l’autre coter de Sawako. Lui aussi était de grande taille. La capuche de sa veste cachait son visage à l’exception de ses yeux qui commençaient à devenir rouge. Il avait déjà la main sur la garde de son katana, prés à dégainer à tout moment. A l’autre extrémité se trouvait Sergueï. Il portait un manteau rouge sang et sa carrure imposé le respect et dans ce cas aussi la peur. On ne pouvait rien décerné sur son visage, il rester de marbre.

Le petit groupe arriva alors devant la base de la marine. Là se trouvait un petit groupe de marine qui torturais un homme attaché à la potence. Il semblait mourir de faim et les marines engloutissaient leur déjeuner devant lui en le faisant particulièrement saliver. Devant ce spectacle Siegrain ne pu se retenir il fonça sur eux déclenchant les hostilités. Les marines comprirent mais trop tard pour eux que les quatre personnes n’étaient pas là pour une visite de courtoisie. Siegrain tua les marines rapidement sans qu’ils aient le temps de se défendre. Sawako et Akito se préparèrent à la contre attaque des marines et ils sortirent leur épées. Sergueï s’avança alors calmement vers la potence. Il sorti un couteau de sa poche et coupa les liens qui retenaient le malheureux. Il lui adressa alors la parole :

« Le vol n’est pas une action digne d’un homme qui se respecte. Mais tu l’as fait pour une cause juste. Prend cet argent et retourne reconstruire ton atelier et nourrir ta famille. Je te conseille de ne pas rester dans le coin si tu tiens à la vie. Cet endroit va vite devenir un champ de bataille. »

Durant le discours l’homme crut que Sergueï allait le tuer. Mais les dernière parole lui firent changé d’avis sur cet homme sui lui permettait de revivre. Sur ces mots l’homme prit les billets et il prit la poudre d’escampette et fila vers la ville. L’alarme retentit alors dans la base de la marine. Sergueï s’adressa alors à ses compagnons :

« Nous sommes maintenant en guerre et tous les coups sont permis. Je ne vous demanderais plus qu’une chose aujourd’hui. Laissez moi le capitaine, il a des comptes à rendre à mon peuple. »

Tout en faisant son discours Sergueï retira son manteau et l’accrocha à la potence. On pouvait alors voir sa tenue de combat et sa carrure était maintenant bien plus impressionnante que lorsqu’il portait son manteau. Les marines prirent place à leur poste pour défendre leur base. Mais un autre groupe contre attaqua immédiatement. Les révolutionnaires étaient près et les attendaient. Sergueï se fraya un chemin dans la masse des marines et parti à la recherche du nouveau dirigeant de la base. Tous les marines qui croisaient son chemin périssaient. Il s’engouffra dans la base avec une seul idée en tête, avoir celle de ce capitaine !

A peine Siegrain avait lancé son attaque que surgit de nulle part une étrange femme qui cachait son visage ainsi que tout son corps. Elle lui assailli quelques coups avec un poignard qu’elle sortit de nulle part et d’une rapidité rarement vue. Siegrain esquiva ses coups avec beaucoup de mal car ils étaient aussi rapides que le vent.

Dès qu’il pu il fit un grand bond en arrière pour se retrouver hors de porté du poignard de la jeune femme et ainsi pouvoir dégainer son katana. Il en profita pour jeter un bref coup d’œil en arrière, tous ses compagnons avait engagé le combat, à l’exception de serguei qui posa son manteau sur la potence après avoir libéré son prisonnier et cherchait à présent le chef de la base marine.

Une fois ce bref coup d’œil jeté, il se retourna alors de nouveau vers la jeune femme, ses yeux étaient à présent aussi rouge que la braise et il était paré pour le combat, avant de lancer le combat, la femme prononça ces derniers mots :

« Oh, j’oubliais, il est très malpoli de tuer des gens sans au moins leur donner son nom, alors je me présente : muto seiko, je serais ton ange de la mort »

Siegrain s’empressa de répondre :

« Et bien si j’en crois ce que tu dis ce serait très mal placé de ne pas me présenter, mon nom est Kisuke Siegrain, révolutionnaire dont la tête est mise à prix à 8 millions de ber… »

Siegrain n’eut le temps de finir sa phrase que Seiko l’avait attaqué, il bloquait ses coups avec son katana et il tentait de compléter par quelques coups de point vifs et rapides que la jeune femme esquivait avec une facilité déconcertante. Elle combattait avec une grâce sans pareil, elle esquivait les coups de siegrain tel un papillon naviguant de fleur en fleur mais attaquait ce dernier comme une abeille piquant sa proie. Siegrain de défendait avec beaucoup de peine et ne dominait largement pas le combat. la femme se laissait guider par son instinct, sans réfléchir à une stratégie pour mettre le révolutionnaire en faillite, la conséquence étant que ses coups étaient beaucoup plus vifs et moins prévisible et donc moins facilement parables. Il profita d’une brèche dans sa garde pour asséner un grand coup de pied qui lui arriva directement dans le thorax. Elle recula d’une poignée de mètres et laissa s’échapper quelques gouttes de sang de sa bouche, son regard se durcit et elle dit d’un ton sec :

« Tu vas regretter ces quelques gouttes de sang que tu m’as fait verser »

Elle revint alors dans le combat avec encore plus de rage et de détermination. Son coup fut d’une telle rapidité que Siegrain eut à peine le temps de l’esquiver….enfin c’est ce qu’il crut jusqu'à voir apparaitre une profond entaille au niveau de son bras droit. Sans aucune transition et avec fureur il lança :

Relàmpago !

La femme fut si surpris qu’elle ne pu que bloquer le coup de son adversaire. Cependant, sans la laisser souffler, il lança une attaque, puis une autre, et encore une autre, il augmentait la vitesse à chaque nouvelle attaque, au point que quatre Siegrain finirent par apparaitre. Il prononça alors :

duplicación !

Seiko essayait de reprendre l’avantage, mais à chaque fois qu’elle frappait Siegrain, ce n’était pas lui mais une de ses projections qui disparaissait alors pour réapparaitre autre part. les quatre révolutionnaires finirent par entouré la marine et dirent en même temps :

Relàmpago !

Seiko, ne sachant pas d’où provenait l’attaque, ne put l’éviter. Alors que Siegrain rangeait son katana dans son fourreau, une plaie béante apparu sur le ventre de la jeune femme partant de la gorge et descendant jusqu’au bassin. Alors que les marines reculèrent par peur de l’extrême puissance de leur adversaire, Siegrain dit d’un air effronté :

« Alors ? Qui est le prochain ? »

Suite aux paroles de son capitaine, Sawako s'était lancé au combat et affrontait des matelots. Elle s'en débarrassait avec une aisance surprenante puis elle s’enfonçait de plus en plus dans la base. Elle était maintenant au niveau du bâtiment quand elle vit une femme avec un fouet. La marine envoya son arme vers Serguei dans l'intention de chopper le pied de l'homme afin de le faire tomber mais Sawako para le fouet en mettant son épée juste devant déviant ainsi la trajectoire de l'objet et laissa la voie libre au révolutionnaire. La marine regarda Sawako d'un air froid.

- Je ne te laisserai pas toucher mon capitaine, Marine !

- Haha, la bonne blague ! Je te neutraliserai avant alors... Prépare toi à souffrir sous mes coups de fouets ! Car moi Ruby Von Anderson, je me laisserai pas faire !

La révolutionnaire se jeta alors sur son adversaire, son épée en avant. Ruby esquiva en sautant sur le côté gauche puis grâce à son arme attrapa le bras droit de la jeune fille et donna un coup brusque pour la ramener vers elle. Sur le coup, la médecin lâcha son arme et percuta le sol violemment. Son adversaire en profita alors pour donner un coup de botte dans le dos de Sawako. Elle se retint de crier. Son sabre se trouva non loin et réussi à le rattraper de justesse avec sa main gauche et donna un coup rapide afin de trancher le fouet. Un bruit métallique retentit et le fouet était intact.

- Tu croyais vraiment que mon arme serait aussi banal ! Hahaha !

Sawako ne fit aucun commentaire et se releva avec difficulté. L'arme de Ruby arriva à toute vitesse sur son visage. La jeune fille plaça son sabre pour dévier le coup. Cependant, elle sentit tout de même la froideur du métal sur sa joue gauche. Elle saignait puis regarda son adversaire tout en essuyant le sang sur son visage. Elle se concentra sur Ruby, analysant tous ses mouvements puis lorsque son adversaire revint à l'attaque, elle fit un rapide coup circulaire qui para complètement le fouet puis fit un coup rapide de sabre vers Ruby et transperça son ventre.

- Utopia -

Elle retira son arme du ventre de la marine mais cette dernière n'était pas vaincu pour autant. Ruby attrapa la veste de Sawako et donna un coup de pied dans le ventre puis avec son fouet en donna dans son dos. La révolutionnaire prit son sabre et coupa l'endroit le vêtement à l'endroit ou elle la tenait. Sawako enleva vite fait sa veste. Elle se mit à sauter au dessus de la marine et commença à remonter l'épée en avant sur son adversaire. Ruby saisit alors le pied de la médecin afin de faire échouer l'attaque ce qui hélas réussit et la jeune révolutionnaire se retrouva à nouveau à terre. Elle souffrait énormément mais ne le montrer pas. Ses yeux étaient plein de détermination même si ses blessures la gênait elle ne comptait pas abandonner aussi facilement. Elle se releva et fonça vers Ruby qui fit une attaque circulaire avec son fouet mais avec un timing parfait la jeune fille fit une roulade avant pour passer en dessus de l'attaque puis donna un coup de sabre rapide sur son adversaire et la propulsa en l'air.

-Discesa agli inferi-

Sawako sauta et la rejoignit dans les airs puis enchaina deux coups rapides d'épée et retomba enfonçant l’épée dans le thorax de la jeune fille. Il tombèrent par terre. Ruby gisait au sol inconsciente.

Durant sa course vers le bâtiment principal de la marine, Sergueï fut la cible principale. Juste à la fin de son discours une marine avait attaqué leur arrière visant Sergueï, mais celle-ci fut tout de suite contrée par Siegrain. De même quand il arriva devant la porte du bâtiment, où une autre marine voulut le faire trébucher à l’aide de son fouet, mais celui-ci fut dévié par la lame de Sawako qui le suivait de près et qui engagea le contre la marine qui manipulé le fouet. Quand il entra dans le poste de la marine, un grand homme costaud il barra le passage, mais Akito qui arriva à cet instant ouvrir la route à son capitaine. Sergueï avait maintenant le champ libre pour trouver le capitaine des marines.

Celui-ci lui facilita même la tache lorsqu’il lui tira dessus. En effet, le capitaine était un tireur d’élite hors pair, mais Sergueï pu esquiver le projectile mais non sens mal. Le marine continua de tiré et très vite Sergueï reconnu le fusil que le marine utilisé, Tochnost, le fusil de Sergueï qu’il avait perdu à Siberia lors de l’attaque par les marines. Ce fusil Sergueï le connaissait mieux que quiconque et le révolutionnaire savait que la moindre balle qui le toucherait l’handicaperai pour le reste du combat. Sergueï se mit alors à couvert et chercha d’où son adversaire pouvait tirer. Sergueï savait aussi que l’arme était précise de loin, très loin. Une petite détonation retentis a ce moment là et Sergueï eu juste le temps de ce remettre à couvert avant que la balle siffle juste à coté de lui. Le combat promettait d’être intéressant et très dur pour Sergueï, puisque ce dernier ne possédait pas d’arme à feu capable de rivalisait avec Tochnost au niveau de la portée, de la précision et de la puissance. De plus Sergueï était plutôt un adepte du combat au corps à corps et dans tous les cas il devrait ce rapprocher de son adversaire afin de pouvoir le combattre réellement. Mais qui dit se rapprocher dit se mettre à découvert et d’être exposé aux balles de son adversaire qui n’aurait qu’a le visé comme sur un stand de tire dans une foire.

Sergueï sorti alors du bâtiment et il courut se réfugier derrière l’arbre le plus proche. Une balle siffla a quelle que millimètre de sa tête et une autre transperça carrément l’arbre. Sergueï nu pas alors d’autre fois que de courir se cachait derrière un énorme rocher qui se trouvait quelque mètre plus loin. Là encore la balle le manqua de peu. Sergueï avait vraiment de la chance pour le moment. Il tira alors l’un des armes à feu qu’il portait et le drame arriva ! Enfin le drame, dans un combat du genre il faut le considéré comme cela : il avait ramassé des armes ayant appartenu à la marine, mais les celles-ci à cause de la pluie incessante avait prit l’eau et n’était plus utilisable. Sergueï ne possédait donc plus d’arme à feu pour ce combat, à moins que la pluie ne s’arrête dans les prochaines secondes et que les armes sèchent instantanément, deux choses qui sur Amé étaient bien sur impossible. Sergueï jeta un coup d’œil pour voir si il pouvait repérer son adversaire, mais au moment où il tourna la tête, il vit une petite tache rouge au loin suivit d’un bruit caractéristique d’une arme à feu qui tire ! Sergueï se replia immédiatement après et une balle siffla de nouveau. Sergueï avait encore une fois faillit se faire avoir, mais au moins maintenant il savait où était son adversaire. Le marine cria alors :

« Sergueï Manakov si je ne m’abuse ! Tu viens du pays des faibles, de Siberia. Pour c’est une île de faible où la neige était seulement là pour vous protéger. Tu es le dernier survivant de se pays si je ne me trompe. Tu me laisses donc l’honneur et le plaisir de détruire ta civilisation, dés que je t’aurais tué. Ha j’allais oublier, merci pour ton arme, c’est un véritable petit bijou ! »

Derrière son rocher Sergueï bouillonna, comment cet homme pouvait parler ainsi de son peuple, comment cet homme pouvait ce croire aussi supérieur que cela face à lui ? La colère de Sergueï décupla en un instant. Il sorti alors de sa cachette il le marine reprit :

« Tu as enfin compris que tu ne pouvais rien contre moi c’est ça ! Tu vas mourir ! »

Juste après le discours du marine la détonation caractéristique de Tochnost se fit entendre. Sergueï ouvrit alors les yeux et cria :

Tochki Molniya !

Sergueï disparu alors en un instant et la balle traversa alors un écran de fumé et d’eau que la technique de Sergueï avait soulevait. Au même instant le marine fut expulsé de sa cachette et projeter contre un arbre. Sergueï se trouvait maintenant à l’emplacement du marine et il s’avança vers lui. Le marine était encore sous le choc du coup que Sergueï lui avait administré, mais il se remit sur ces pieds et il frappa Sergueï avec le fusil. Sergueï esquiva le coup mais Tochnost touchant un autre arbre qui se trouvé à coté. Sergueï prit alors son adversaire au niveau du cou et il le souleva de quelque centimètre au dessus du sol. Sergueï trouva la tenue de ce dernier particulièrement ridicule. Il portait un jean noir maintenu par un ceinturon avec l’emblème de la marine, une chemise uni noire, avec sur ses épaules la cape de capitaine et sur la tête un chapeau de cuir noir. Sergueï lui répondit alors :

« Aujourd’hui c’est toi qui va mourir, au nom de mon peuple, au nom de Siberia !!! »

Sergueï arma alors son point, mais au dernier moment une lame sorti de l’une des bottes du marine et Sergueï le relâcha alors pour esquiver la lame. Le marine en profita alors et il se transforma en un immense taureau noir se tenant sur ces pattes arrières. Le monstre frappa alors en direction de Sergueï qui esquiva le coup facilement. Le marine dit alors :

« Je suis plein de surprise, j’ai mangé le Ushi Ushi no mi modèle taureau. C’est maintenant à toi de déguster ! »

Sergueï prit alors du recule et prononça :

« Moi aussi j’ai un cadeau pour toi ! J'ai mangé celui du Kuma Kuma no mi, modèle polaire.»

Medved !

Sergueï de transforma immédiatement en un ours de près de trois mètre de haut, tout aussi grand que le taureau qui se trouvé en face de lui. Le marine chargea alors l’ours polaire qui venait d’apparaître toutes cornes devant. Sergueï les saisit alors et il souleva l’énorme taureau avant de le jeté par terre. L’énorme bête se releva aussi et elle frappa Sergueï en plein de le ventre. Le coup fut extrêmement violent mais Sergueï répliqua aussitôt. Les attaques que se portaient les deux protagonistes étaient d’une rare violence. C’est alors que le taureau fit un faut mouvement a cause du sol glissant. Sergueï en profita et lança alors :

Kogot !

La patte de l’ours lacéra magistralement le poitrail de son adversaire. Celui tomba ensuite au sol qui devient presque aussitôt rouge. Le taureau voulut alors frapper Sergueï mais il attrapa le bras de l’animal avec sa mâchoire et hurla :

Klyk !

Un horrible son d’os craqué retenti alors et le marine se retransforma en humain. Celui-ci se tenait le bras gauche qui avait une forme bizarre. L’homme se tordait de douleur. Sergueï toujours en ours s’avança vers lui et dit :

« Ton heure est venue. Tu vas savoir ce que c’est que la vengeance de Siberia ! »

Hitov Medvedya !

Le marine se prit le coup de plein fouet et cela sonna la fin du combat. Le pelage d’habitude blanc de la forme animal de Sergueï était passé au rouge, aussi bien couvert de son sang que de celui de son adversaire. Il reprit alors sa forme humaine et les effets du combat se firent immédiatement sentir. Sergueï réussit tant bien que mal à récupérer son arme qui lui avait était volée par le marine. Malheureusement celle-ci était abîmé et n’était plus en état de marche normal tant quelle n’était pas réparé. En effet, lorsque le fusil avait touché l’arbre quand le marine avait voulu frapper Sergueï avec, le percuteur est certain système avait été détruit et Sergueï n’avait pas le matériel nécessaire pour le réparer. Sergueï retourna devant le corps du marine. Celui-ci était mort sous le coup final de Sergueï et lui brisant intégralement la cage thoracique et les organes vitaux c’y trouvant. Sergueï reprit alors la direction du champ de bataille où se trouvaient ses nouveaux compagnons. Il passa alors devant les restes d’un mur et certain souvenir lui revinrent. C’est à se moment là que voit se fit entendre :

« A toi aussi ses ruines te font pensé à cette nuit ? Sergueï Manakov. »

Sergueï se retourna et vit un vieil homme assis à coté du muré. De plus l’homme avait un voie qui lui était familière.

« Cela va maintenant faire 12ans.

Les souvenirs revirent immédiatement à Sergueï. C’est donc vous qui m’aviez laissé partir il y a 12ans lorsque j’avais tué ce Sergent dans cette base.

Oui c’est moi. Cela fait deux fois que tu viens ici et à deux reprises tu as tué mes successeurs. Je vais donc devoir reprendre du service pour un petit bout de temps. Mais à chaque fois je n’aimais point ces homes là, cela ne me fait ni chaud ni froid de les voir mourir. Leur sens de la justice était tellement noir. Mais je tiens à te prévenir. Cette foie la véritable version éclatera au grand jour et ta prime augmentera j’en suis sûr. De plus, lorsque l’attaque ait commencé, le capitaine avait appelé deux navires de la marine dans les environs. Je te conseil de partir le plus vite possible, sinon, vous allez vous faire prendre et il en sera fini de vous.

Merci du tuyau, mais puis-je savoir pourquoi tu tiens temps à m’aider ?

Nous dirons que certaines situations m’ont fait douter, puis tu n’attaques pas les populations civiles, donc voila. Si en plus tu peux emmerder certain de ces haut grader gratte papier, cela m’arrange. C’est ici ma vengeance.

Je vois, encore merci et à Dieu !

J’y compte bien, la prochaine fois que je te revois ici tout cela sera différent. »

Sergueï reprit le chemin menant au champ de bataille pour prévenir ses camarades des dangers qui les guettaient et de ce que lui avait dit l’ex nouveau colonel de la base d’Amé.

HRP: J'ai posté avant Akito car je ne peux pas répondre durant la semaine.avant de répondre il faut qu'il le fasse, et si il le fait durant la semaine cela ne coupe pas une fois de plus le rp.

Akito se battait tout en observant le champs de bataille paisiblement. Il n'était pas inquiet et avait confiance en ses talents de combattant. Il suivit donc Serguei à l’intérieur du bâtiment. Un immense marine leur barrait là route.

- Vous devrez me passer sur le corps !

Là façon dont il dit cette phrase informa rapidement Akito sur le type d'ennemi auquel ils faisaient face. Il voulait un peu s'amuser avec lui et lança à son nouveau chef.

- Je m'en occupe ! Continue je te rejoins après. T'inquiète je gère.

Le marine voulut s'interposer au passage du révolutionnaire mais le jeune homme blond s'interposa.

- Nan nan tu le touchera pas. D'ailleurs pourquoi tu l'attaques ? Il t'a rien fait nan ?

- Euh... Nan mais il attaque mes amis.

Et a ce moment le soldat tenta de lui asséner un coup qu'Akito esquiva facilement.

- Et pourquoi tu m'attaques ? Je t'ai rien fait non plus !

- Euh nan c'est vrai mais pourquoi tu as pas voulut que j'attaque l'autre ?

- Ben parce que comme toi je défends mes amis. Mon très cher.... Comment tu t'appelles ?

- Moi je suis Karten.

- Donc mon très cher Karten. Pourquoi nous attaques tu et pourquoi m'attaques tu moi ?

- Ben parce que je dois obéir et pourquoi tu m'attaques ?

En effet Akito s'était rapproché doucement de Karten pour essayé de lui donner un coup.

- Ben pour défendre mes amis bien sur ! Regarde si tu veux qu'on arrête de se battre c'est simple. Ne touche pas à mes amis et je te laisserai tranquille.

- Bah je sais pas, veux pas me battre mais dois obéir...

Ce dernier échange se déroula pendant un combat continu entre les deux. Pendant que Karten réfléchissait difficilement il baissait sa garde. Soudain Akito lui glissa subtilement, alors qu'ils étaient dans un batiment de béton :

- Attention à pas écraser la petite fleur elle t'a rien fait !

Le marine regarda bêtement les yeux totalement confus et chercha la fleur. Akito en profita pour enfoncer sa lame dans le ventre du soldat qui mourut sur le coup. Il se releva et essuya le sang et disant.

- C'était vraiment trop simple...

Soudain le jeune homme vit son chef revenir en courant.

- Tiens re chef ! Du nouveau ?

Sawako après avoir battu Ruby se battait contre des matelots. La jeune femme les enchainait à coup de sabre bien placé. Elle attendait que son capitaine revienne en espérant qu'il n'ai rien de grave. C'est alors qu'un marine l'attaqua par derrière. Sawako eu juste le temps de se retourner afin de bloquer l'attaque avec son arme. L'ennemi lança une autre offensive plus rapide. La révolutionnaire esquivait tout en reculant puis se retrouva acculer contre un mur. Elle était coincé mais cela ne semblait pas l'inquiéter plus que cela. Elle regarda son adversaire d'un air déterminé et s'appuya contre le mur pour se propulser sur le pauvre marine qui se trouva embroché par la médecin. A ce même moment, Serguei sorti du bâtiment en compagnie d'Akito. Sawako couru les rejoindre. Le capitaine des Krasnyi Sneg leur expliqua que deux bateaux de marines se dirigeait vers l'île et qu'ils feraient mieux de partir au plus vite.

- Quand il y en a plus, il y a encore... *Elle soupira* Sinon on ferai mieux de rejoindre Siegrain puis d'aller au bateau.

Elle vit Siegrain au loin qui se battait contre des marines de bas niveau. Sawako mis hors jeu un marine qui se trouvait à gauche du bretteur puis lui raconta la situation. Quelques marines poursuivaient encore le groupe.

- Ils vont pas nous lâcher aussi facilement...

La jeune femme scruta l'horizon et vit les deux bateaux des marines arriver. Leur bateau n'était cependant plus très loin.

Sergueï parcourait le plus rapidement possible les couloir de la base de l’île d’Amé afin de rejoindre ses nouveaux compagnons qui l’attendaient dehors. Malgré ses blessures il continuait d’avancer sans s’en soucier. Il portait toujours à la main son arme, Tochnost qu’il venait de récupérer au capitaine de la Marine Carl Smith qu’il venait de tuer. Heureusement pour lui il n’avait pas était touché par les balles que lui avaient tiré celui-ci. Non, ses blessures provenaient du combat au corps à corps qu’ils avaient livré. Les deux hommes possédaient des fruits du démon et des Zoans. Ils avaient donc usée de leurs pouvoirs mais Sergueï avait prit le dessus sur son adversaire et il l’avait tué. Sergueï continuait à repenser à ce combat et il ne pouvait s’empêcher de penser à ses compagnons qui eux aussi avaient affronté des adversaires particulièrement costauds. C’est alors qu’il croisa Akito, son nouveau charpentier. Il venait de tuer son adversaire, un homme de plus de deux mettre d’un coup au niveau de l’estomac. Aussi Akito ne paraissait nullement avoir souffert de ce combat et s’adressa alors à Sergueï :

«Tiens ! Re chef ! Du nouveau ?

Oui et de sérieux problème en perspective si l’on ne se dépêche pas ! Il faudra aussi que tu m’explique comment il se fait que n’est aucune blessure, mais pas maintenant … »

Sergueï ne pu finir sa phrase à cause de l’attaque d’un marine qu’il esquiva facilement et qu’il envoya a grand coup de point valsait une dizaine de mètres plus loin. Il continuait à courir quand ils sortirent du bâtiment. Sergueï repéra facilement Sawako, sa nouvelle doctoresse et Siegrain, son cuisinier. Sawako était le plus proche et il fonça vers elle afin de lui dire de le suivre. Il expliqua alors à Sawako et Akito ceux qu’il allait leur arriver. En effet, il leur annonça l’arriver imminente de deux navires de la marine qui étaient dans le coin. Cela eu l’effet d’un électrochoc chez ses deux compagnons. Ils continuèrent alors en direction de Siegrain toujours en train de combattre. Celui-ci croiser le fer avec quelques marines et Sawako alla l’aider. Elle lui expliqua la situation et quand ils arrivèrent au niveau de Sergueï et d’Akito, Sawako leur montra deux navires de la marine en approchent. Sergueï dit alors :

« Je fonce au navire avec Akito, vous retarder au maximum les marinesle temps que l’on puisse le préparer au départ ! »

Ils se séparèrent alors Sergueï avaient peur pour ces compagnons car ils avaient souffert de leurs combats. Ils étaient déjà blessés et les marines qui allaient combattre étaient frais. Sergueï fut le premier au bateau et il ordonna à Belyï d’aller aider Sawako et Siegrain ainsi que de les conduire après au bateau. Akito le rejoignit alors et ils commencèrent à préparer le bateau. Sergueï redressa le mat rapidement pendant qu’Akito enlevait les amarres. Lorsqu’il eut fini sa tache il rejoignit Sergueï pour monter les voiles. Tout cela ne leur pris pas énormément de temps, mais des navires de la marine avait accosté un peu plus loin tandis que l’autre manoeuvrait pour bloquer la sorti du port. Akito mis alors toute la voilure du bateau et celui-ci prit une formidable accélération. Sergueï commença alors à longer le quai afin de pouvoir récupérer ses trois compagnons toujours à terre.

Hrp: Allez dernier poste pour ce Rp, plus vite poster plus vite fini! Siegrain et Sawako, vous avez le droit (et le devoir) d'utiliser Belyï.

Sawako était resté en compagnie de Siegrain afin de retenir les marines éloigné de leur navire pendant que Akito et Serguei , le préparer. Sawako protéger les arrières de son coéquipier tout en se rapprochant des portes afin de bloquer l'avancée des ennemis vers le bateau. La plupart du temps, il suffisait juste d'un ou de deux petits coups de sabre bien placé pour mettre KO les matelots de la justice. Le plus facile était de viser vers les hanches car sinon c'était trop facile à parer ou même à esquiver. Une fois au niveau de l'entrée du camp des marines, Sawako se plaça devant et ne laissait passé personne. Soudain des balles fusèrent en sa direction, mais la jeune fille esquiva puis sauta en l'air pour retomber sur un groupe d'ennemi et assener un coup circulaire. Heureusement que la révolutionnaire avait une bonne endurance du à ses années passées en tant que Marine mais surtout, elle avait continué de s'entrainer en compagnie d'autres révolutionnaires.

C'est à ce moment que Beylï arriva aider les deux membres de l'équipage des Krasnyi Sneg. Apparemment l'animal de Serguei c'était remis de ses blessures et commençait à s'attaquer aux marines en face de Sawako. Pendant ce temps, la médecin tentait de dévier les balles de fusils puis elle fit un signe discret à Siegrain pour lui dire de venir. Les marines venaient de plus en plus nombreux. La jeune femme regarda vite fait derrière et vit que le bateau était enfin prêt. En se retournant, un ennemi en avait profité pour lui tirer dans l'épaule gauche. Elle se retint de crier et d'aller foutre une raclée à l'agresseur car il était temps d'y aller. Sawako pris Siegrain par la main et ils coururent ensemble vers le bateau. Quand Beylï arriva devant eux, il semblait insisté pour que l'on monte sur lui ce que fit deux suites les deux révolutionnaires.

La rapidité du tigre géant de Sibéria était assez grisante. Ils arrivèrent en un rien de temps sur le bateau. Une fois sur le pont, la médecin en profita pour aller chercher du matériel de soin et d'enlever la balle de son épaule, puis elle mis des points de sutures. Ensuite elle s'occupa des blessures des autres membres de l'équipage.

- On s'en ai sorti avec brio !