Cela faisait trois mois maintenant que l’île était coûtée du monde. La marine avait bien choisit son moment pour attaqué, puisqu’elle ne laisser aucune chance aux éventuels survivants, qui si ils ne mourraient pas de l’extermination, aller mourir de froid et de faim.

Sergueï avait profité de ces longs mois pour préparer son départ. Tout abord, il c’était rendu aux chantiers navals. Comme il l’avait imaginé, leur éloignement et leur position plus au nord les avait en quelques sortes protégées. En effet, déjà pris dans les classes lors de l’attaque, un groupe de marines eu l’ordre d’aller tuer les habitant est d’y mettre le feu. Mais le froid glacial avait plus ou moins éteint l’incendie. Les bâtiments principaux étaient rasés, mais certaines cabanes étaient encore debout, et elles offraient un abri inestimable. De plus, il y restait encore de la nourriture, mais juste de quoi survivre les premiers jours. Il donna alors la mission à Belyï de trouver de quoi manger pour le restant de la glaciation. De son côté, Sergueï se mis à la recherche de bois, de clous et du matériel nécessaire pour la fabrication d’un bateau. Il se mit aussi à la recherche de plans et de livres sur la construction navale, pour être sûr de faire du bon travail, car bien que fils de charpentiers, ils étaient morts lorsqu’il avait 5ans. Mais sa bonne étoile était avec lui, car lui trouva le tout au même endroit et le premier jour. Il se mit alors à construire un bateau suffisamment grand pour pouvoir transporter Belyï, de la nourriture jusqu'à la prochaine île et éventuellement des armes si il en trouvait ou d’autres chose qu’il pourrait vendre.

Les trois mois de préparation de Sergueï venaient de s’achever, et déjà la banquise commençait à fondre, ces derniers jours sur l’île touchaient à sa fin, et il décida de rendre un dernier hommage à la mémoire des habitants de l’île. Il prit aussi soin de ne laisser aucunes traces derrière lui. Lorsque les dernier morceaux de banquise disparurent, il prit la décision de partir le lendemain matin. Il prépara le bateau et le chargea de tout ce qu’il aurait besoin. Mais le lendemain matin, des bruits étranges s’élevèrent de la côte sud de l’île. Il alla y jeté un coup d’œil, et que ne fut pas sa stupéfaction lorsqu’il vit un navire de la marine dans la baie. Il se rapprocha à couvert, et il vit quatre patrouilles partir. Désireux d’en apprendre plus, il se rapprocha de deux marines qui montaient la garde, et il écouta leur conversation :

« -Merde, on se les pèle ici, quelle idée d’envoyer des hommes ici !
-Dit toi que tu as de la chance, toi tu peux rester près du feu, mais ceux qui son partis, eux ils vont se les cailler sévère, puis pour rechercher des survivants qui n’existe pas, je te raconte pas.
-Je sais bien, mais quand même. Puis il y a le nouveau là, lui je peux pas le voir, c’est déjà le chouchou du capitaine, et il n’a rien a faire ! »

Sur ces paroles, Sergueï chercha les empreintes de pas des patrouilles. Il décida de suivre celle qui partait vers l’ancienne capitale, car c’était l’objectif le plus proche. Il n’eu aucun mal à la rattraper. Il engagea alors le combat, et il eu vite le dessus sur ces adversaires, qu'il tua. Il pris ensuite la direction de l’ouest, où il tomba sur la 2eme patrouille. Celle-ci connue le même sort que la précédente. Il s’attaqua alors à la patrouille qui aller au nord, et il envoya Belyï à l’est. Mais lorsqu’il tomba sur la patrouille du nord, il manqué en homme, qui c’était arrêté plutôt, et qui vit le massacre. Des que Sergueï fut parti, celui-ci courut au bateau prévenir les autres du danger. Pendant ce temps, Sergueï rejoignit Belyï et ils se postèrent prés du bateau.

Sergueï ne c’était pas trompé, il avait bien eu un survivant lors du massacre des quatre patrouilles de marines. Il le vit monter paniqué sur le navire, un des matelots présents l’emmena dans la cabine du capitaine. Il eu du mal à se faire comprendre par celui-ci, car il était encore sous le choc de la vision du « fantôme » qui venait de massacrer ses compagnons. Lorsqu’il eu finit, le capitaine le calma, et lui demanda de lui montrer ou cela c’était produit. Le capitaine en conclut aussi que les trois autres patrouilles avaient été tuées. Celui-ci parti alors à la suite du pauvre rescapé, et s’enfonça vers le nord. Il vit alors un autre homme sortir de la cabine, il ne portait pas l’uniforme des matelots, et un énorme loup le suivait. L’homme bondit sur la berge, le loup le suivait de prés, et il reniflé sans cesse, dans l’espoir de trouver l’odeur de l’agresseur. Mais l’expérience de Sergueï dans l’art du camouflage paya, et le loup ne trouva rien. L’homme resta là quelques instant, puis il parti sur le dos du loup.

Sergueï attendit encore un peu. Les deux combattants les plus puissant venaient de quitter le navire, ce qui laisser le reste de l’équipage à sa merci. Sergueï se leva alors, et marcha vers le bateau. L’un des garde le remarqua, et il fut tétanisé, le fantôme venait d’apparaître devant lui. Lorsqu’il eu enfin la force de crier pour prévenir les autres, Sergueï dit :

Molniya !

Il disparut, et la gorge du marine s’ouvrit, laissant s’écouler un flot de sang. Son voisin remarqua cela, voulut sortir son pistolet de son étui, mais il n’y était plus. Un coup de feu retentis, et une balle vient se loger dans son crâne. Les autres furent immédiatement avertis du combat qui venait de s’engager. Ils sortirent, se mirent en position sur le pont, et virent un homme seul, dans la neige. Les autres matelots encore sur la terre ferme se lancèrent alors sur lui, le sabre à la main. Sergueï esquiva les premiers coups de sabre, mais lorsque l’un de toucha Sergueï, il s’écriat :

Chelovek Stal!

Le sabre éclata alors son les yeux des matelots. Ils reculèrent alors d’un pas, et la peur commença à se lire sur leurs visages. Sergueï releva la tête et dit :

« C’est tout ce que savent faire les défenseurs de la justice. Dire qu’ils ont exterminé mon peuple, des gens aussi faible. Quel manque de respect pour les guerriers de Siberia, avoir été tué par des gens aussi faible. Et c’est cela que l’on appelle la justice, exterminé des peuples entiers parce qu’ils ne correspondent pas aux critères du gouvernement mondial. C’est misérable, mais ce n’est pas grave, vous ferez l’affaire pour que je puisse venger mon peuple !!! »

Sergueï s’élança, toucha le premier marine et cria :

Vybros !

Il s’écrasa contre la coque du navire, et son corps inerte tomba à la mer. Les autres marines foncèrent sur lui, et il sorti un sabre moyenne de son manteau de fourrure. Il para facilement les premiers assauts et contre attaqua, il ne lui fallut pas plus de 2 minutes de se débarrasser de ceux à terre. Le sang qui coulait des cadavres taché la neige blanche. Il porta alors son regard vers le navire. Les marines tirèrent une slave sur Sergueï, mais il disparut en criant :

Molniya !

Il se retrouva au dessus du pont du navire et s’écriat alors :

Grom Tochki !

Il fracassa le pont du navire. Mais le coup fut si violent que le bateau se plia en deux. Il fit aussi exploser les réserves de poudre et fit périr ton les marines. La partie du navire contenant la cabine du capitaine s’écrasa alors au sol dans un bruit sourd. Sergueï retomba au sol sans dommage, cet échauffement lui avait fait du bien, en prévision des combats à mener. Il se mit debout au milieu des cadavres, en attendant le premier des deux autres étaient parti. Le quel reviendrai en premier, le capitaine, fort de son expérience, ou le jeunot, qui se baladait avec le loup ?

Cela faisait de longues minutes que Sergueï attendait l’arrivé de l’un des deux marines qui venaient de partir. Et toujours la même question, le gradé, ou le jeunot avec le loup ? Sergueï n’eu plus à se la poser longtemps, il entendait approcher quelqu’un, non, deux personnes et un loup, c’était le jeunot, mais le marine partie avec le gradé devait être avec lui. Il resta là, entouré par les cadavres de ses victimes. Sa rage était à son paroxysme, et les combats ne l’avaient point apaisé. Il entendit le groupe s’approcher, quelqu’un se cachait maintenant derrière un grosse pierre, et bientôt il pu voir son adversaire. C’était un jeune homme brun, il était bien bâti, il était bien raser et coiffé. Il portait aussi trois sabres à la ceinture. Il le défia alors :

« Je ne sais pas qui tu es mais tu en a assez fait. Tu vas payer pour tout ce que tu as fait à ces hommes innocents. Si tu veux t'en prendre à quelqu'un pour la mort des révolutionnaires pendant le buster call, ce n'était pas sur eux que tu devais te déchainer mais sur les gradés envoyés par le gouvernement. Eux avaient tous une famille, des enfants et tu les as tués sans aucune pitié... Prépare toi à vivre les derniers moment de ta misérable existence car tu ne sortira pas indemne de ce combat! »

Sergueï lui répondit alors :

« La guerre est fait par des gens qui ne se connaissent pas au profit de personne qui se connaissent très bien. Cela veut dire se que sa veut dire. Je sais bien que c’est les grattes papier du QG qui sont la causse tout de cela, ils n’avaient cas venir ici eux même. Ces hommes sont tombés sur la mauvaise personne au mauvais moment. C’est peut être triste de l’entendre comme ça, mais c’est la vérité, si ils ne voulaient pas mourir, ils ne devaient pas s’engager, puis si leur mort de rend si triste, tu ne peux en vouloir qu’a toi-même et à ton supérieur, qui à laisser le navire sans défense, moi peut être.
Puis je devrais avouer que cela ma fait plaisir de les tuer, vous payerez au centuple le nombre de victimes de Siberia durant l’attaque, autant dire que cela fera des victimes ! »

Il vit alors le marine commençait à s’énerver de plus en plus. Cela n’était que mieux pour Sergueï, car son adversaire lui laisserait plus d’ouverture. Il se mit alors en position, la neige était déjà haute, et par endroit complètement verglacer, ou c’était des trou de poudreuse. Sergueï connaissait ce terrain, et son adversaire non. Cela lui donner un sérieux avantage, qui n’était pas négligeable. De plus, le jeunot pensait être en supériorité numérique, puisque Belyï était toujours camouflé. Fou de rage, le jeunot lança l’assaut, Sergueï s’écria alors :

Molniya !

Il se retrouva alors prés de rocher où se cachait le marine rescapé. Le jeunot compris alors son erreur, et cria désespérément pour sauver son compagnon. Le loup géant se lança sur Sergueï pour l’en empêcher. Mais celui-ci se fit arrêter en vole tel un vulgaire objet par Belyï, qui venait de le prendre au cou de sa mâchoire. L’animal se débâtie, et un combat entre les deux géant commença. Il était certes de même taille, mais Belyï connaissait le terrain. Sergueï donna alors un coup de point sur le rocher en lançant :

Grom Tochki !

Le rocher explosa alors, et le pauvre marine derrière fut expulsé avec une pluie de gravas. Heureusement pour lui, il avait connu une mort rapide, car Sergueï l’aurait fait souffrir. Il dit alors à son adversaire :

« Que le combat commence ! »

Sergueï comprit alors son erreur, juste avant que le jeunot ne lui dise :

« -En fait, sache que l'humain que tu as pensé tuer n'était qu'un vulgaire robot sans âme... »

Puis le marine lança son attaque, deux pistolets sortir de ses bras, et il tira une rafale. Sergueï chuchota alors : Chelovek Stal, de façon a que son adversaire ne puisse pas l’entendre. Les balles ricochèrent sur son corps, mais il subi tout de même les impacts. En même temps, le matelot répendit un liquide grisâtre, le même que celui qui venait de faire apparaître les deux pistolets. Mais au contact de la neige, il se durcit, et un épais brouillard commença à s’élever. Pendant ce temps, les deux animaux menaient un combat sans relâche. Aucun des deux ne cédaient face à l’autre. Mais le liquide grisâtre se dirigea vers eux, et emprisonna la patte de Belyï. Le loup en profita, et il commença à porter de sérieux coups à Belyï. Sergueï profita de l’inattention du marine pour disparaître dans le brouillard. On y voyait pas à 20m, mais Sergueï avait l’habitude de se genre de terrain et climat. La neige qui redoublait se mettait aussi de la parti, et aller grandement compliqué les chose pour le marine si il ne connaissait pas celle-ci. De plus Sergueï venait de découvrir la nature de liquide : il s’agissait d’acier en fusion. Le corps de son adversaire en était fait, et Sergueï en conclut qu’il possédait le fruit du démon de l’acier. Tout un coup, le matelot demanda :

« -En fait, c'est quoi ton ptit nom ? »

Sergueï ne brisa pas le silence, et manifestement, le marine l’avait perdu de vue. Il laissa encore mariner le marin un petit bout de temps avant de répondre :

« On apprend donc pas la politesse au jeune sur les autres îles de ce monde, car lorsqu’on veut connaître le nom de quelqu’un on commence d’abord par se présenter soit. Cela n’est pas de ta faute, mais laisse moi te montrer ce qu’est la politesse, vu que j’allais te demander la même chose. Mon nom est Manakov, Sergueï Manakov. Je suis un officier de Siberia, et l’on me surnomme Beshenyĭ, qui signifie dans ma langue l’Enragé, je vais te laisser deviner pourquoi ! »

Tout en parlant Sergueï se déplaçait à grande vitesse. Le marine tenta de le repéré, mais Sergueï changer sans cesse d’endroit. Enfin il s’immobilisa lorsqu’il eux fini et cria :

Tochki Metyeora !

Un bruit de métal brisé retenti alors, et la plaque d’acier se brisa complètement. Le marine ne pu rien faire contre cela, car la température venait brusquement de chuter. Cela eux la conséquence immédiate de figer l’acier en fusion, et de le rendre extrêmement fragile. Le marine ne pu rien faire contre cela, car Serguei venait de lui balancer son loup, et il du le rattraper, puisqu’il venait d’être mis KO.

Le marine resta là, et il répondit à Sergueï :

Un bruit sourd se fit alors entendre. Une énorme avalanche venait de se déclencher. Elle recouvra vite le matelot, dont Sergueï connaissait le nom maintenant grâce à son supérieur, il s’appelait Dylan. Sergueï fut heureux d’apprendre cette information puisque le jeune homme était un valeureux combattant, qui n’avait rien à voir avec les soldats anonymes qu’il avait exterminé plus tôt. Il faisait maintenant face au capitaine du navire. La perte de son navire et de son équipage l’avait rendu furieux, à tel point que ses yeux étaient injectés de sang. Le capitaine paraissait sûr de lui, en effet, il fixait Sergueï droit dans les yeux avec une assurance digne d’un amiral. Sergueï soutenu son regard, en essayant de percer les secrets qu’il cachait. C’était un homme grand, bien plus grand que Sergueï, d’environs 2m. Il avait une carrure imposante, qui pouvait faire frémir ses adversaires. Sergueï de son côté étudia son ennemis sous tous les angles. Il remarqua deux pistolets à la ceinture, ainsi qu’une énorme épée. D’un coup, le gradé grogna :

« Espèce de bâtard, tu vas voir ce qu’il en coute de s’attaquer à l’équipage du capitaine Walker. Je vais te faire payer ton insolence. Prépare-toi à mordre la poussière ! »

Sur ces mots, le capitaine s’élança sur Sergueï, sortant de son fourreau son énorme épée. Sergueï para le coup facilement, avec deux sabres moyens qu’il avait crée durant ces trois longs mois d’isolement. Mais son adversaire ré attaqua de plus belle. Ses coups étaient puissants, mais Sergueï tenait bon. Mais d’un coup, ses sabres explosèrent à cause de l’impact qu’ils venaient de recevoir de l’épée du gradé. Sergueï rompu alors le combat, et il s’éloigna de son adversaire. Celui-ci s’exclama immédiatement :

« Tu ne fais pas le poids contre moi, rends toi, et je te promets une mort rapide ! »

Sergueï lui répondit alors :

« A Siberia, on ne se rend pas, puis c’est toi qui va mourir aujourd’hui. »

Il enleva alors son manteau, et il découvrit sa tenue de combat. Il lâcha alors le manteau, et avant que celui-ci ne touche le sol, Sergueï disparut. Il arriva derrière le capitaine, et le frappa avec un Grom Tochki. Le gradé se fit surprendre par cette attaque rapide de Sergueï. Il vola sur une dizaine de mètres avant de percuter un rocher. Il se releva facilement, et il sortit ses pistolets. Il tira une rafale. Sergueï l’esquiva, et fonça de nouveau sur son ennemi, mais il avait prévu le coup et l’attendait. Il riposta alors et Sergueï ne pu parer le coup. Il le prit de plein fouet au niveau des côtes, mais cela ne l’arrêta pas, il contre attaqua et rua de coup son adversaire. Celui-ci les para les coups et un échange entre les deux combattants eu lieu. Aucun ne prenait l’avantage sur l’autre, jusqu’au moment où il trébucha sur quelque chose de mou. Cette chose n’était autre que Belyï. Il gisait au sol, ensevelit sous la neige à moitié mort. Le capitaine en profita alors pour prendre le dessus sur Sergueï. Face à cette vision, la rage de Sergueï se décupla, et ses yeux devinrent rouges. Il se releva, fixa le capitaine, et lança une nouvelle attaque. Elle était bien plus puissante que les précédentes et Sergueï continua d’attaquer avec la même rage. Le gradé commença à douter de sa supériorité face à Sergueï. Il décida alors de rompre le combat, pour pouvoir attaquer à distance. Mais Sergueï ne lui en laissa pas l’occasion. Ses attaques se firent alors de plus en plus rapides et puissantes. Walker prit alors la décision d’utiliser ses parties bioniques. Il découvrit alors ses bras et il pu alors riposter contre le jeune homme enragé. Il pu ainsi rompre le combat pour pouvoir attaquer à distance. Mais la brume qui les entourait fit disparaître Sergueï du champ de vision de Walker. C’est alors qu’il entendit la voix de celui-ci :

« Notre combat et ta vie s’achèvent ici. Tu vas comprendre toute l’étendu du mot vengeance. Ta mort va être un exemple pour tous les marines qui ont eu l’audace de venir ici tuer le peuple de Siberia. La gloire de Siberia renaîtra et vous en serez les témoins et les victimes ! »

Sur ce, il prononça les derniers mots qu’ils entendraient pendant le combat :

Medved !

L’ombre de Sergueï grandit, et les rugissements d’un ours se firent entendre. Lorsque Walker comprit ce qui venait de ce produire, il fut trop tard. L’énorme créature se tenait déjà devant lui, et il assénât un coup de patte qui le sonna. Mais la bête ne s’arrêta pas là. Les coups avaient vu leur puissance augmentait par 10 et le gradé ne pu répondre. La fin du combat était très proche maintenant. Sergueï, dans sa forme d’ours, bloqua enfin son adversaire contre la paroi rocheuse de la montagne. Le coup de grâce allait être donné et c’était Sergueï qui le porterait. Il prononça alors la fin du combat.

Hitov Medvedya !

Le coup fut si violent qu’il fracassa Walker ainsi que la montagne qui se trouver derrière lui. Une pluie de roches et de neige s’abatis alors sur le lieu du combat. Toujours en forme d’ours, Sergueï regardait le corps de son adversaire. Il ne vit qu’à ce moment qu’il était un cyborg. Il redevient alors un homme et prit le soin de vérifier si son adversaire était encore en vie. Celui-ci n’était pas mort, mais ses blessures si elles n’étaient pas soigner rapidement le tueraient. Il n’avait plus une seule cote d’intact et ses organes vitaux étaient sévèrement touchés. Il n’acheva pas son adversaire, puisque cela était contraire à l’honneur des guerriers de Siberia.

Le combat venait de ce terminer, le capitaine Walker été hors combat, aux portes de la mort et le matelot ensevelit quelque part sous la neige. Sergueï resta là un instant, fixant le corps de son adversaire qui ne gisait pas loin. Son dernier coup l’avait grandement affaibli, mais il avait été fatal au marine. Même la montagne qui se trouver derrière eux, d’où été parti l’avalanche était détruite. Des rochers recouvraient maintenant l’endroit et l’on pouvait voir en arrière plan les restes du navire fumés à cause de l’incendie qui c’y est produit. Sergueï marchait maintenant vers les corps des marines. Il fouilla leurs poches à la recherche d’argent, d’objet plus ou moins utile. Il prit aussi les armes, sabres, fusils et pistolets, ainsi que la poudre et les munitions. Il alla aussi fouiller la cabine du capitaine du navire pour prendre les cartes et tous ceux qui lui serrait utile pour la navigation. Il prit aussi le den den mushi et retourna vers le lieu de l’affrontement. Il le posa au milieu des décombres et dit d’une voie forte pour ce faire entendre.

« Dylan, je te laisse de quoi partir, tu es un valeureux combattant et nous n’avons pas eu l’occasion de nous affronter. Deviens plus fort et un jour, on l’aura notre combat ! »

Sur ses mots, Sergueï ramassa le corps inconscient de Belyï, et il parti vers le nord de l’île, où se trouvait son embarcation. Belyï avait énormément souffert de son combat avec le loup et des coups du marine. Le pelage était devenu rouge. Son corps était recouvert de plaies profondes, dont certaine saignée encore qu’il fallait soigner au plus vite, mais la pire de toute rester celle au cou. Un morceau de métal s’était logé dans sa nuque, mais n’avait heureusement pas touché la trachée ni la carotide. Mais Sergueï traîné plus Belyï qu’il ne le portait, parce que celui-ci était bien plus grand que lui. Il quitta la côte est s’enfonça dans les terres. Il prit soin de prendre et de garder en mémoire un maximum de détail sur cette endroit qu’il ne reverrait certainement pas. Après quelques heures de marche dans la neige, il arriva enfin à son embarcation. Mais avant de partir, il soigna son compagnon. Cela prit encore une petite heure, puis il mis Belyï sur le pont du navire avec de grosses couvertures de fourrure. Sergueï chargea aussi les vivres, les armes ramassées et le reste. Ce fut alors enfin le moment du départ. Sergueï fit alors quelque chose que personne ne reverrait, il pleura. Les larmes essuyées, il prit enfin la mer. Il vit alors une aurore boréal se formé au dessus de lui. Il remarqua alors que la banquise se reformée autour de l’île. Il comprit alors que l’esprit de l’île était avec lui, car jamais il n’avait vu des conditions météos changées aussi brutalement. Il y avait eu une tempête de neige, la baise des températures, l’avalanche et maintenant l’aurore boréale et la banquise. Il remercia l’esprit avec des prières, bien qu’il n’était pas croyant.

Bientôt, l’île disparut de son champ de vision et il regarda devant lui, il quittait son île, qui l’avait vu grandir. Pour lui commençait maintenant l’aventure et l’accomplissement de sa vengeance, qui se finirait dans le sang et la mort !