Le garçon venait de rentrer dans le grand bureau du Général Alexander. Celui-ci était manifestement heureux de le voir prendre du service. IL lui donna alors sa première mission « officielle ». Il devait éliminer un homme qui depuis quelque temps gênait les livraisons des armes à d’autre poche de révolutionnaire un peu partout. L’homme avait réussit par sa sottise à attirer l’attention des autorités sur les navires qui était censé livrer les dites armes. Il fallait obligatoirement le faire taire afin que tout redevienne comme avant et pour lancer les autorités à la poursuite d’une ombres pour les laissé tranquille. De plus la mission serait plus facile pour Sergueï que pour un autre agent des UKP. En effet comme l’homme venait de faire une erreur qui pouvait conduire à la fin du trafic il était maintenant sur ses grades et il s’attendait à voir apparaître un homme dans son entourage qui aurait pour ordre de le tuer. Le fait que Sergueï soit encore un enfant les arrangé bien surtout qu’il passerait inaperçu face à l’homme.

Celui-ci était en faction sur la petite l’île d’Amé, l’île de la pluie et du mauvais temps. Sergueï c’y rendit avec un navire marchand qui effectué la navette entre Amé et Sibéria l’île gelée. Une fois sur île il se mit alors en route pour la capitale qui était situé plus loin sur la montagne. Il arriva rapidement à la capitale mais il était trempé et plein de boue. Il se mit alors en quête d’un abri et d’un repère pour sa mission. Il trouva son bonheur dans une petite ruelle dans la quelle se trouvait une porte qui donnait sur une petite pièce mal éclairé. A l’intérieur il y avait une table avec une chaise, un matelas posé à même le sol et dans un coin un petit para vent qui caché une petite salle de bain avec douche, lavabo et des toilettes. L’endroit semblé être désert mais Sergueï resta prudent. Il s’installa et il remarqua que le petit placard à coter d’un petit réchaud. La nourriture à l’intérieur était depuis longtemps périmé et il conclut cet endroit était complètement abandonné.

Une fois installé Sergueï se remit à déambuler dans la capitale, mais cette fois à la recherche de l’entrepôt qui servait de cache aux armes pour être après redistribué à d’autre cellule de révolutionnaire de la région voir certaine qui à l’échelle mondiale. Sergueï prit connaissance des lieux. Il repéra les entrés et les sorties possibles ainsi que de la disposition des bâtiments autour de l’entrepôt. Une fois qu’il eu fait cette tache, Sergueï commença à la façon d’on il allait si prendre pour approcher l’homme. En effet étant un enfant, approcher un homme de sa trempe ne serait pas aisé, mais au moins celui-ci ne se douterait de rien. C’est alors que Sergueï remarqua un homme rentrer dans l’entrepôt. Il le suivit alors et alla se cacher les conduits d’aérations. Il entendit alors une conversation :

« Patron, la prochaine cargaison arrivera dans cinq jours. Mais les gars disent que les marines rodent plus en plus le long du port. On fait quoi dans ce cas ?

Tout ce passera bien, on fera diversion dans la capitale, comme ça ils ne s’occuperont plus du port. Au fait, ils t’ont dit le code ?

Oui, se sera la distillerie pour eux et pour nous le bar le Tigre Blanc. Il apporte une cargaison pour les approvisionner en alcool et ils vont en profiter pour faire passer les armes puisque l’entrepôt sert de transit entre les deux partis.

Ok, c’est bon tu peux retourner à ton poste, demain réunion pour tout le monde pour être prés à les recevoir. »

L’homme qui venait de rentrer repartis immédiatement. La cible de Sergueï resta là encore un petit moment. C’est alors qu’il sorti un den den mushi miniature de sa poche. Il appela et une voie lui répondit alors.

« Avez-vous les informations nécessaires ?

Oui, je les ai. La cargaison d’armes arrivera d’ici 5 jours. Elles seront cachées dans une cargaison d’alcool à destination du bar le Tigre Blanc.

Bien, vous aurez votre part comme convenue et votre amnistie pour votre collaboration dans cette affaire. Fin de la communication. »

Sergueï n’en croyait pas ses oreilles, sa cible venait de vendre le réseau sûrement au gouvernement. Sergueï se demanda alors comment il devait agir dans ce cas. Il retourna alors chez lui mais il eu un sommeil agité à cause de sa mission qui prenait un tournant malheureux.

Le lendemain matin Sergueï crut que son crâne aller exploser. Il fallait absolument qu’il tue l’homme qui venait de vendre le réseau du trafic d’armes mais aussi empêché le gouvernement de le démanteler. Il réfléchissait le plus vite possible mais il ne trouvait rien. Il ne pouvait demander conseille à personne et il lui était impossible de contacter ses supérieurs. Sergueï était seul dans cette situation. C’est alors que Sergueï eut une idée. Il devait faire croire à sa cible qu’il était de son coté et qu’on venait de lui tendre un piège. Le seul problème était que le navire contenant la marchandise serait quand même fouillé. De plus comment faire avaler cela à un homme qui n’est de loin pas naïf au point de se laisser avoir comme cela. Sergueï fut soudainement pris de colère et il parti dans la ville pour trouver de quoi s’occuper.

Tout en marchand il arriva à coter de l’entrepôt quand soudain une idée lui apparut. Il entra directement dans le bâtiment et il se rendit dans le bureau de sa cible. Là il se mit à la recherche du den den mushi. Il mit rapidement la main dessus et il ouvrit immédiatement le combiné. Une voie lui répondit immédiatement :

« On avait dit plus aucune communication jusqu'à la fin de l’opération, que me voulez vous, allo, allo, êtes vous là ? Qui est à l’appareil, répondez ! »

L’homme au bout du fil commença alors à paniquer. Quelqu’un avait surpris son informateur en train de communiquer avec le den den mushi. Il savait que l’opération été maintenant caduc et que la mort de son informateur aller être proche. Il raccrocha alors en vitesse. Une fois que l’autre eu raccrocher Sergueï se cacha soigneusement pour ne pas se faire repérer. C’est alors que l’homme entra dans la pièce et aperçue le den den mushi sorti de sa cachette et le combiné sortie. Il se précipita dessus et rappela immédiatement. L’homme au bout du fil lui répondit immédiatement.

« Vous venez de vous faire démasqué. Vérifier que personne ne puisse vous entendre.

C’est bon, personne dans la pièce, personne dans le couloir. Qui a t’il ?

Je viens de vous le dire, vous avez été démasqué. La prochaine cargaison est sûrement un leurre et ils vont certainement en vouloir à votre vie. C’est pour ça que je vais vous envoyer un homme pour vous protéger. Il se présentera d’ici se soir. Nom de code immortel. En attendant soyez sur vos grades et ne faites plus confiance aux hommes qui sont autour de vous. Fin de la transmission »

La cible de Sergueï était en sueur, on l’avait démasquer, comment cela pouvait il être possible. Il s’asseya dans son fauteuil et il sorti un pistolet qu’il mit devant lui. De son coté Sergueï sorti du bâtiment. Il se mit immédiatement en quête de l’homme qui devait arriver pour protéger sa cible. Il aperçue bientôt un homme qui ce déplacer rapidement en essayant de ne pas se faire repérer. Sergueï alla alors à sa rencontre. Une fois à son niveau il dit à voix basse :

« Immortel »

L’homme s’arrêta immédiatement et se retourna pour voir Sergueï et lorsqu’ils se croisèrent du regard Sergueï en fut convaincu, cet homme était le grade du corps. Il sauta alors sur lui avec une grande vitesse et il lui planta un poignard dans le cœur. L’homme fut si surpris qu’il ne pu rien faire contre cette attaque et il s’effondra au sol. Sergueï n’eu aucun mal à caché le corps dans la petite ruelle. Il avait maintenant la voie libre pour rencontrer sa cible.

Sergueï entra alors dans le bâtiment par une porte qui ce trouvait à l’arrière de l’entrepôt. Il se dirigea alors vers le bureau et y entra sans se faire voir par les gens qui travailler dans l’entrepôt. Il se retourna alors et sa cible pointait un revolver vers sa tête. Il dit alors :

« Mais c’est quoi ce cirque, que fait un gamin comme toi ici ?

HE, calme un peu, je suis immortel !

Comment ça tu es immortel ?

Bien oui, c’est moi, patate, il n’allait quand même pas envoyer un gorille de 3m pour te protéger, niveau discrétion c’est pas le top tu ne crois pas. C’est moi le contact et dés qu’il y aura un soucis je dois donner le signale et les autres sont là, mais pour le moment ils doivent rester cachés. Alors satisfait ?

Tu m’expliques comment je suis censé te présenter aux autres ?

Je ne sais pas, on ne m’a rien dit de plus, ça c’est ton boulot. »

Sergueï continua de discuter avec sa cible. Il apprit tout ce qu’il voulait savoir. Ils attendirent que tout le monde sorte de l’entrepôt pour le visiter. Sergueï pu alors les armes qui étaient entreposées. Les armes de manufacture Sibérienne étaient de bien meilleure qualité que celles utilisées par la marine. Mais celles qui étaient dans cet entrepôt ne valaient pas celle utilisées par les soldats de Sibéria. Depuis longtemps Sibéria était considérée comme la meilleure manufacture d’arme du monde. Cela était dû à son histoire et au fait que c’était un état militaire depuis très longtemps. De plus comme le Gouvernement Mondial n’y avait jamais mis les pieds afin d’éviter une guerre île était depuis toujours auto suffisante en tout. Bien que le commerce avec Siberia était autorisé, les échanges étaient étroitement surveillés. Aussi Sibéria c’était lancé dans le trafic d’armes pour les révolutionnaires des autres pays. Cela permettait à Siberia de rester tranquille puisque le Gouvernement Mondial était occupé à combattre les autre mouvement de révolte un peu partout.

Soudain l’homme décida de rentrer chez lui. Sergueï le suivit alors. En chemin l’homme lui dit qu’il le présenterait comme son neuve. Sergueï qui avait emmenait ses affaires s’installa alors chez l’homme. Il devait rester avec lui jusqu’au jour du déchargement, car si il mourait avant les marines iraient fouillait le navire. Sergueï en profita alors pour faire un tour dans la bibliothèque de l’homme. Il chercha alors des livres sur tout : l’astronomie, la cuisine, la médecine…, mais il ne trouva quasiment rien. L’homme ne possédait que des romans dont Sergueï avait horreur et deux ou trois bouquins sur la navigations et les armes. Sergueï les lui empreinta, enfin il les lui prit car d’ici cinq jours il n’en aurait plus besoin. Sergueï chercha aussi qui pouvait bien être la personne avec qui sa cible avait communiqué. Cette personne en savait trop et il fallait absolument la faire taire pour qu’elle ne puisse rien révélé de cette affaire. Mais cette quête se révéla extrêmement complexe à cause du nombre d’informations restreints et par le fait que tout était soigneusement caché. Le seul qu’il possédait été le den den mushi. Il se promit alors mentalement qu’il l’éliminerait avant de quitter cette île.

Le plan de Sergueï marchait à la perfection pour le moment, l’homme avait apparemment confiance en lui ce qui lui permettrait d’aller jusqu’au bout de la mission.

Commença alors pour Sergueï sa nouvelle mission, celle de garde du corps. Mais en réalité pour lui ces cinq furent une promenade de santé. En effet il était le seul à connaître l’assassin et quand, où et comment il agirait, bien qu’il n’y eu pas encore vraiment réfléchi. Il le suivit donc durant les cinq jours avant que la cargaison arrive. Pour le traître, ces cinq jours furent les plus longs de sa vie car il était toujours en train de vérifier que personne d’inhabituelle ne lui suive… Mais Sergueï veillé au grain. L’homme mena sa vie durant cette période mais il préférait nettement restait chez lui car il c’y sentait en sécurité. Cela permis à Sergueï d’étudiait un peu. Malheureusement pour lui sa cible ne possédait qu’un ouvrage sur les armes et deux autres sur la navigation et les dangers de la mer. Mais l’ouvrage sur les armes était énorme et il grouillait d’informations en tout genre.

Grâce à ce livre et ses connaissances personnelles Sergueï prit soin des quelques armes qu’il possédait. Il avait deux pistolets, deux poignards, une cordelette ainsi qu’un petit sabre court. Il fit cette opération la nuit lorsque sa cible dormait afin de ne pas se faire repérer. Il était ainsi sur qu’au moment voulut il puisse utilisé n’importe la quelle sans qu’elle est le moindre défaut. C’était aussi une règle d’or chez les assassin car si vous perdez ne serait ce qu’une seconde vous êtes mort. Sergueï prit donc grand soin de sa panoplie afin de réussir sa mission au mieux.

Durant cette période Sergueï et sa cible n’allèrent qu’une fois à l’entrepôt. Les hommes préparaient celui-ci en vu de la cargaison à venir. Ce jour là il eu aussi un groupe de révolutionnaire d’un pays voisin qui était venu récupérer leur bien. La transaction ne dura pas longtemps et il repartir avec un convois de minerais de fer qu’il venait d’acheter. Mais les marines rodaient dans le coin et tout le monde était stressé au plus haut point. Finalement un homme arriva et dit qu’il venait tout juste de prendre la mer. Ce fut alors le soulagement total. Pendant ce temps Sergueï fouilla minutieusement le bureau du traître à la recherche d‘indice sur la personne avec qui il avait communiqué, mais il ne trouvas rien, soit parce qu’il les avait caché autre pars soit parce qu’il s’en était débarrassé. Au moment de retourner dans la maison de sa cible, Sergueï récupéra l’escargot phone qui était dans son bureau car il venait d’avoir une idée pour trouver l’homme en question.

Le reste du temps Sergueï fit des exercices physiques. Il n’était pas question pour lui de ne pas continuer son entraînement car bien qu’il fasse déjà parti des meilleurs assassins de Sibéria cela ne voulait pas dire qu’il savait maîtrisé correctement toutes les techniques qu’on lui avait apprise. A cause surtout de son age et de son manque d’entraînement pour le moment Sergueï ne possédait pas encore suffisamment d’énergie. De plus ses coups n’avaient pas encore une puissance si exceptionnelle et sa vitesse n’était encore si impressionnante. Mais Sergueï savait qu’en grandissant ses pouvoir aller augmenter considérablement.

Les jours passèrent et se ressemblèrent. Arriva finalement le jour où la cargaison devait soit disant arriver. Tous les hommes venaient d’aller sur le quai et ils avaient préparé l’entrepôt afin de recevoir la cargaison. L’assassina aurait bientôt lieux.

La cible de Sergueï était tranquillement restait dans le bureau. Au port c’était l’agitation la plus totale. Un énorme navire marchand en provenance de Sibéria venait d’accoster et un autre en provenance d’East blue et come il devait déchargé et rechargé au plus vite afin de repartir. Tout le monde s’agitait enfin de le faire au plus vite. Très vite et premier convoie arrivèrent à l’entrepôt. Les hommes chargeaient et déchargeaient tout un tas de caisses et de tonneaux. Ils étaient ensuite conduis au port afin de repartir au plus vite. La manége dura ainsi toute la nuit. Les hommes ramenèrent aussi la fausse cargaison d’armes dans l’entrepôt. Ils la mirent de coter, comme si quelques choses de spécial y étaient. Bien sur c’est caisses n’avaient pas été fouiller par la marine puisque l’homologue de la cible de Sergueï avait flairé le piège. Rien n’avait donc été fait, mais la cible de Sergueï se promis d’aller y faire un tour pour être sur que c’était bien un piège.

Le déchargement se finit tard dans la nuit. Tout le monde était exténué par tout cela. Les hommes de l’entrepôt prirent alors congés et rentrèrent chez eux. Se fut à ce moment là que la cible de Sergueï se décida à faire le tour des caisses et alla vérifier la cargaison d’arme, qui était bien sur une fausse visant à le piéger. Il fit le tour des caisses et tout était là. Ce fut alors au tour des caisses d’alcool prévue pour le tigre blanc. Quelle ne fut pas sa réaction lorsqu’il vit qu’il en avait trop, beaucoup trop. Il en ouvrit alors quelques unes… Ce fut à ce moment qu’un cris retenti dans l’entrepôt. La cible de Sergueï comprit, elle comprit qu’on venait de ce jouer d’elle et il devait au plus vite prévenir son homologue. Il courut alors jusqu’à son bureau. Bizarrement la lumière était éteinte alors q’il l’avait laissé allumer juste avant de partir. Celle-ci s’alluma brusquement et le fauteuil derrière son bureau pivota pour laisser apparaître Sergueï. L’homme crut au début à une méchante blague, mais les évènements qui allaient suivre lui prouvèrent le contraire.

« Que fais tu là ? A quoi joues tu derrière mon bureau ?

Moi, à rien ! Mais je devrais te retourner la question, toi à quoi joues tu ? Tu croyais vraiment qu’on ne se rendrait compte de rien ? Tu croyais pouvoir nous doubler ? Ton petit manage ça fait longtemps qu’on le connaît, mais là tu es allé trop loin !

L’homme tomba à la renverse : T’tu es l’assassin ?

Je vois que tu comprends vite, mais il faut te l’expliqué longtemps. Oui je suis bel et bien l’assassin et toi ma cible. Tu as failli me mettre dans un sacré pétrin aussi, pour une première mission je ne pensais pas devoir autant utiliser de stratagèmes.

Mais pourquoi ne pas m’avoir tué plutôt ?

Je me demande parfois si il t’arrive de réfléchir. Si je t’avais tué dés le début, la marine aurait fouillé les caisses qui se trouvent actuellement au fond de l’entrepôt. Je devais faire en sorte qu’elle n’agisse pas et pour cela je dois remercier ton ami là bas. Il sorti alors le den den mushi de sa poche et le posa sur le bureau. Je suis au courant depuis le premier jour e c’est moi qui est fait croire à l’autre que c’était un lueur. Finalement mon plan à marcher comme sur des roulettes. Il ne me reste plus qu’à te tuer et ma mission sera accomplie.

L’homme se releva péniblement, de la sueur coulait abondamment de son front. On pouvait voir sa peur dans ses yeux et il répondit alors à Sergueï :

Crois tu vraiment que se sera aussi simple, ma mort ne fera qu’à graver les choses. Puis je ne suis pas un molasson et le combat ça me connaît depuis longtemps. Je me demande qu’en même pourquoi ils ont envoyé un enfant si celui-ci n’a aucun chance de s’en sortir vivant.

Ne t’inquiète pas pour moi, mais plutôt pour ta vie. Tu ne sera pas la première personne que je tuerai et je n’éprouverai aucun remord pour mes actes. Je fais parti des meilleurs et tu vas savoir pourquoi. »

La cible de Sergueï resta là, le dévisagent. Ce n’était qu’un enfant, un ange parmi les démons. L’home comprit que l’enfant avait été envoyer pour lui faire baissé sa garde et cela avait marché. De plus il était bien plus rusé que beaucoup de monde et cela lui avait permis de l’approcher sans éveiller les soupçons. Il saisit alors le sabre qu’il portait toujours sur lui, caché dans son dos. La garde de celle-ci le rassura. Il sorti alors sa lame et il la brandit en direction de Sergueï. les deux combattant se testaient du regard. Le combat pouvait maintenant commencer !

Le garçon fixait l’homme, l’homme fixait le garçon. Les deux partis testaient celui de l’autre. D’un coter un traître de Siberia, un homme grand et plutôt musclé et qui à la vu de ces cicatrices devait déjà avoir pas mal combattu. Il portait un sabre long et les mouvements qu’il faisait avec celui-ci étaient gracieux, souple et ample, ce qui trouvait sa grande habilité avec cette arme. De l’autre un petit garçon qui avait à peine treize ans, un enfant. Mais celui-ci faisait parti des plus puissant que pouvait compter Siberia, les UKP. Sergueï sorti alors son sabre court. Il venait de se mettre à égalité avec son adversaire. Le temps dans la pièce s’écoula lentement, l’atmosphère était lourd, oppressant. Chacun était sur ses gardes afin d’anticipé au maximum l’attaque e l’autre.

C’est alors que le combat commença. Les deux combattant s’étaient élancé l’un vers l’autre en même temps. Les sabres s’entrechoquaient violemment. Aucun des deux partis ne semblait pendre le dessus sur l’autre. L’homme possédait une incroyable force et il avait bien plus d’expérience dans ce domaine. Ses coup étaient puissant et bien portaient, il faisaient régulièrement reculaient Sergueï qui avait aussi du mal à les parer. De son coter Sergueï était bien plus rapide et souple. Cela était aussi en parti du à la taille de son arme. Ses coups prenaient souvent de vitesse son adversaire qui devait alors parer au lieu d’attaquer ou esquiver. Sergueï lui esquivait et contre attaquait le plus souvent possible. Cela lui permettait de reprendre du terrain sur son adversaire. Mais le bureau dans le quel ils évoluaient devint rapidement trop petit. L’homme rompu alors le combat et se rendit dans l’entrepôt pour c’y cacher.

Sergueï sorti à son tour du bureau quand une voie éclata :

« Je vois que tu te débrouille pas si mal que ça au sabre. Mais qu’en est il des autres méthodes de combats ? Auras tu toujours autant de chance ? »

Sergueï marcha calmement, sans faire de bruit. Il eu rapidement repéré son adversaire et cria alors :

Molniya !

Mais il ne maîtrisait pas encore complètement cette technique et il loupa sa cible. Il atterrit quelque mètre plus loin dans les caisses qui y étaient entreposé. Mais l’homme fut si surpris par la technique de Sergueï qu’il ne bougea pas ce qui lui permit de relancer l’assaut. Les deux combattants repartirent alors dans plusieurs assauts, tous plus sauvage que le précédent. Mais aucun des deux partis ne voulaient pour autant lâcher l’affaire et le combat continua de plus bel. Les lames touchaient régulièrement les caisses et les autres objets qui se trouvaient dans l’entrepôt. On pouvait voir les dégâts causaient par le combat et si cela continuait l’endroit serait alors un véritable champ de bataille. L’homme rompu alors à nouveau le combat et s’enfui pour se cacher de nouveau.

« Espèce de lâche revient ici ! Le combat n'est pas fini ! éclata Sergueï. Ça ne sert à rien de te cacher, je te retrouverais, où que tu sois ! »

C’est alors qu’un coup de feu retenti dans la pièce. Sergueï eu juste le temps de l’esquiver. La balle siffla dans ses oreilles et alla se loger dans le mur qui se trouvait derrière. Cet acte eu comme effet de mettre Sergueï encore plus en rogne contre son adversaire. Il ne manquait pas de toupet après s’être enfuit. Mais au fond de lui SergueÏ le savait, cette homme avait agit dans les règles car il n’y en avait pas dans un combat à mort. Chacun voulait la peau de l’autre pour sauvait la sienne et tous les moyens étaient bon, même les plus viles d’entre eux. Sergueï se mit alors à couvert et dégaina c’est deux pistolets. Une autre balle sifflât alors. Elle s’écrasa dans le mur où la précédente venait de se loger. Sergueï courut alors se mettre derrière une autre caisse et durant le saut qu’il fit il tira un coup vers l’endroit d’où étaient parti les deux coups de feu précédents. S’entama alors une partie de cache cache mortel entre les deux adversaires. Mais Sergueï prit rapidement le dessus. Il repéra son adversaire et au moment où celui-ci voulut tirer Sergueï le prit de vitesse. La balle fonça et toucha l’homme au niveau de l’épaule gauche. Celui-ci lâcha immédiatement son arme et poussa un cri de douleur. Sergueï fit de même car il venait d’utiliser toutes les munitions qui étaient chargées dans ses armes et il ne voulait surtout plus perdre de temps.

Mais l’homme n’avait pas dit son dernier mot. Quand Sergueï apparut il le frappa avec son bras valide. Sergueï le para facilement car les forces de l’homme le quittaient déjà. Il utilisa alors son attaque favorite et celle qu’il maîtrisait le mieux. Il cria alors :

Grom tochki !

Le choc fut extrêmement violent et l’homme vola à plusieurs mètres se fracassant alors contre le mur. Sergueï le rejoignit immédiatement. L’homme adressa alors la parole à Sergueï :

« Je reconnaît que tu es un combattant exceptionnelle. Jamais je n’avais perdu de combat, mais il faut bien un début à tout non. Cela m’apprendra à être arrogant et de croire que me soit permis. L’homme poussa, crachant une grande quantité de sang. Ses organes vitaux avaient été à coup sûr touchés par la dernière attaque de Sergueï. Tu es un être rusé, tu iras loin, très loin croit moi. L’homme poussa de nouveau. Tu m’as offert un magnifique dernier combat et une belle mort pour quelqu’un comme moi, je te remercie. Tu es un ange parmi les démons, mais je voudrais connaître ton nom, pour savoir qui m’a terrassé. »

Durant le discours de l’homme Sergueï sorti l’un de ses poignard. L’home savait que cela serait moins douloureux que de suffoquer à sa blessure. Il plaça l’arme à la gorge de l’homme et dit :

« Mon nom est Sergueï Manakov. »

Tout en les prononçant Sergueï trancha la gorge de son adversaire. Les mots résonnèrent encore longtemps dans l’entrepôt maintenant calme. Sergueï venait d’accomplir sa mission, mais il lui restait encore une tache à faire avant de partir.

Sergueï regarda le corps de sa cible tombait au sol. Sa mort fut rapide et il n’eu pas le temps de souffrir. Sergueï fit alors le tour de l’entrepôt pour ramasser son sabre cour et ses pistolets. Bien que ces armes n’avaient pas de grandes valeurs et qu’il lui serait facile de s’en procurer des nouvelles, mais Sergueï préférait lui les garder. De plus le ne savais pas sur qui il tomberait lorsqu’il affronterait le marine qui était en contact avec sa cible. Il s’assura qu’il possédait bien le den den mushi et il parti alors vers la base de la marine.

Une fois là bas il dut s’infiltrer, mais la taille de la base lui permis de le faire. En effet cette base était de petite taille et elle ne compter pas beaucoup de soldat. Il remarqua alors qu’il n’y avait plus personne dans les locos. Mais très vite il repéra de la lumière. A l’intérieur s’y trouvait un homme en train de lire des cartes marines en tout genre. Sergueï sorti alors le den den mushi et il appela. A sa grande stupéfaction se fut dans le bureau de cet homme que celui-ci sonna. SergueÏ eu confirmation que c’était bien sa cible quand il répondit. Mais SergueÏ poussa alors la porte avec dans sa main le den den mushi qui hurlait ce que disait l’homme assit au bureau. Il eu la même réaction de la précédente cible de Sergueï et il resta là, paralysé par la peur. L’homme fixait Sergueï avec attention quand il pu enfin articuler :

« Qui es tu ? Que fais tu là avec ce den den mushi entre les mains ?

Les hommes sont parfois si bêtes. Je suis l’assassin du traître qui à essayer de vous vendre le trafic d’arme. Et je suis venu m’assurer que personne ne pourrait divulguer ses informations. »

Sur ces mots Sergueï dégaina son sabre et s’avança vers le marine. Celui-ci sorti immédiatement une arme à feu et tira en direction de Sergueï. Il évita les balles mais cela permis au marine de prendre la fuite. Mais Sergueï ne mit pas longtemps à le rattraper. L’homme portait une énorme épée qu’il tenait à deux mains. Il attaqua immédiatement Sergueï qui para le coup, mais la force de l’homme brisa immédiatement sa grade et il du esquiver. Celui-ci on voyant cela. Mais il ne pu rien faire contre la contre attaque de Sergueï qui lui entailla le bras droit jusqu'à l’os. L’homme hurla alors de douleur et il lâcha son épée. Sergueï profita lors de cette ouverture mais l’homme dévia son coup grâce à son pied. Il fit alors une roulade et il récupéra son arme. Son bras saigné abondamment mais cela ne l’empêchait pas tenir encore son arme. Il reparti immédiatement à l’assaut de Sergueï qui avait de plus en plus de mal à parer les coups de son adversaire qui se faisaient de plus en plus puissant.

C’est alors que le sabre de Sergueï explosa sous l’impact. Sergueï se retrouver à main face à cet adversaire. Il recula alors et il sorti ses pistolet qu’il avait rechargé. Il ne voulait pas les utiliser au début pour éviter de réveiller les soldats de la base. Sergueï prit alors la décision de tirer bien qu’il connaissait les conséquences. Il visa et tira immédiatement, mais son adversaire arrêta la balle du plat de sa lame. Mais Sergueï en profita et cria :

Molniya !

Cette fois l’attaque de SergueÏ fut plus réussit. Il arriva juste à coter du marine et il lui tira une balle dans l’épaule. L’homme s’effondra de nouveau. La balle venait de lui transpercer l’épaule et avait détruit tous les os qui c’y trouvaient. L’homme ne put reprendre son épée car il était droitier et qu’il n’avait pas la force nécessaire pour combattre avec seulement un bras valide. Il se tourna vers Sergueï en attendant la mort. Il lui dit alors :

« Bien joué gamin ! Tu vas vaincu moi aussi. Tu as accomplis ta mission, les informations je les avais gardé pour moi tout seul afin d’assuré mon avenir et ma futur promotion. Mais pour gagner ce combat tu as dû te sacrifier, les autres seront bien là et tu n’auras nulle part où aller.

Sergueï se mit à rire et répondit : Ne t’en fais pas pour moi, je m’en sortirai. »

Tout en prononçant ces mots Sergueï appuya sur la détente de son arme et la balle qui venait d’être se logea dans la tête du marine. L’homme mourut sur le coup. Sergueï retourna alors dans le bureau il fouilla entièrement la pièce et il trouva enfin ce qu’il cherchait, les documents sur le trafic d’armes. Sergueï les brûla et en profita pour faire diversion en mettant par la même occasion le feu à la pièce. Sergueï prit alors la direction de la ville. Mais juste avant qu’il ne sorte de la base de la marine une voie l’arrêta :

« Comment ce fait il que ce soit un gamin qui est fait tout cela ? Pourquoi le monde a-t-il tant changé ? Enfin bref, il semblerait que tu m’ais débarrasser de se poison de Sergent chef. Je n’ai jamais vu un homme si intéresser seulement par son avenir et sa seule promotion et avec un sens de la justice aussi corrompu. Quoique qu’il en soit je n’aie rien contre toi, je devrais même te remercier, mais tu es un assassin, donc tu n’auras pas ce privilège. Si jamais je te revois je serai contraint de t’arrêter. L’homme arrêta son discours puis reprit, mais sans parler à quelqu’un en général. Il n’y a donc plus de moral dans ce bas monde. Plus personne n’a le vrai sens de la justice comme il faut l’appliquer. Que va-t-il advenir de ce monde si cela continue. Pourquoi cela me fait il doutait moi même du vrai sens de ce mot ? Puis s’adressant de nouveau à Sergueï. Va t’en maintenant, à moins que ne veulent qu’on t’arrête. »

Sergueï écouta les paroles de l’homme avec attention. Au loin on étendait le craquement des flammes et les hommes qui essayaient de l’arrêter. Sergueï ne put rien avoir de la personne qui venait de lui parler excepter la silhouette de celui-ci. Quand l’homme eu fini, Sergueï prit la clé des champs et parti vers la ville. Il s’arrêta prendre ses affaires chez sa première cible puis rejoignit la cachette qu’il avait utilisait le premier jour. Quand il y fut enfin Sergueï s’allongea sur le lit et il s’endormi immédiatement. Sa journée venait de l’épuiser au plus haut point mais il était fier de se qu’il venait de faire, il avait réussi sa première mission avec succès, bien que celle-ci soit devenu bien plus difficile que prévue.

Sergueï se réveilla le lendemain dans l’après midi. Les combats de la veille l’avaient épuisé et il commença à sentir les premières douleurs ainsi que les courbatures. Sergueï fit alors quelques exercices pour les éliminer. Il soigna aussi les blessures qu’il avait reçues lors de ses combats. Une fois qu’il eu fait tout cela il descendit au port afin de savoir quand arriverait le prochain bateau pour Siberia. Il apprit alors qu’il devrait encore attendre prés d’une semaine avant de pouvoir partir. Après cela il remonta dans la capitale où régner une certaine agitation. Il remarqua alors les marines qui ne cessaient de courir dans tous les sens. Il apprit alors la raison de cette agitation, on venait d’assassiner un homme dans les entrepôts, probablement que celui-ci c’était interposé cotre des voleurs. Il apprit aussi qu’un dangereux criminel c’était échappé de la prison de la marine en tuant au passage un des Sergent chef en faction. Il était d’ailleurs prévu que les marines fassent une cérémonie en l’honneur de leur collègue qui était tombé. Mais apparemment personne n’était à sa recherche. C’était sûrement un coup de l’homme qui lui avait parlé hier soir.

Le lendemain il fit une découverte des plus mystérieuse, un homme des Ukp était aussi sur l’île d’Amé. Il essaya de le suivre pour savoir ce qu’il était venu faire ici, mais il le perdit dans une petite ruelle. Il voulut repartir lorsqu’il senti une main forte le saisir et l’immobiliser. Il se retourna et il vit l’homme qu’il avait essayé de rattraper juste avant. Celui-ci lui adressa alors la parole :

« Tes supérieurs sont fier de toi Sergueï, tu as brillamment réussit ta mission.

Mais que faites vous là ?

J’avais pour mission de te surveiller et de voir si tu réussissais à faire ta mission. J’avais aussi pour ordre d’éliminer ta cible si tu n’y arriver pas. J’ai donc fait un rapport au QG afin de les avertir des résultats que tu as obtenue. Tout le onde et très fier de toi. Personnellement je trouve que tu es un très bon agent et il faut absolument que tu continues tes exercices afin de progresser. Tu as aussi un esprit vif, tu es rusé et intelligent, ce qui t’a permis de surmonter cette situation de grise. Je ne connais pas beaucoup d’agent qui à ton age et encore maintenant aurais été capable de tant de réflexion pour mener à bien leur objectif.

Merci, y a-t-il autre chose, quand dois je rentrer ?

Justement j’allai y venir, ils t’ont accordé encore un peu de repos sur Amé. Cette île est certe pas des plus accueillante à cause de la pluie, mais comme les marines y sont peu nombreux, tu pourras poursuivre tes entraînements. De plus dans moi d deux semaines il va y avoir la fête de soleil sur toute l’île et il serait dommage de rater cela. Un bateau partira le lendemain de la fête et tu devras le prendre pour rentrer sur Siberia. Il faut maintenant que je m’en aille, au revoir SergueÏ et bonne chance pour la suite. »

Sergueï fut d’abord déçu de ce que l’agent venait de lui dire car si il était là pour le surveiller cela voulait dire qu’on ne lui faisait pas encore confiance. Mais après réflexion il se dit que c’était juste une évaluation que chaque agent devait passer afin que l’on puisse être sûr de leurs capacités. SergueÏ suivi alors les conseils que l’agent lui avait donné et chaque matin il partait en forêt s’exercer. Les jours passèrent et se ressemblèrent. Il eut la cérémonie à la base de la marine puis quelques jours après on annonça que le beau temps approchait et qu’il était prévu pour le lendemain. Toutes les activités sur l’île cessèrent et les gens commencèrent à se préparer pour le lendemain. Les grosses averses commencèrent alors à décliner mais une pluie fine persista. Les gens sortirent des tables, les places furent décoré, et commença à préparer de quoi manger et boire durant tout le lendemain… Au soir les préparatifs furent finis. L’île sombra dans le calme le plus total : c’est la calme avant la tempête !

En effet, le lendemain lorsque le jour ce leva et que le soleil perça les nuages pour la seul fois de l’année la fête commença. Sergueï n’avait jamais rien vu de tel. Tout le monde faisait la fête avec tout le monde. Les ennemis le reste e l’année devenaient subitement ami et apprenaient à se connaître. Tout le monde partager avec les autres les plats qu’il avait préparés la veille. L’île vivait sur un autre rythme durant cette journée. Mais celle-ci fut bien courte comparé au nombre de jours où la pluie tombait incessamment sur l’île. Bientôt celle-ci se remit à tombait et on se dépêcha en hâte de rentrer et de ranger tout ce qui avait été utilisé.

Une fois la fête du Soleil finit, Sergueï regagna son abri et il rangea toutes ses affaires. Il récupéra aussi les livres qu’il avait pris chez sa cible et il alla se couchait. Le lendemain matin il descendit au port et il prit le bateau qui retourner à Siberia. Il fit alors des adieux à l’île pensant ne jamais y revenir.