Sergueï avait souvent de longs moments durant les quels il avait tout le loisir de se rappeler tout ce qu’il c’était passé durant sa vie. Lorsqu’on lui parler de Grand Line, c’était à cet évènement qu’il se rappeler :

Cela faisait maintenant quelques mois que Sergueï naviguait sur Grand Line, enfin il se servait des embarcations, des transports et autres navires qui parcouraient la mer. Sa destination était l île de Colombia. C'était une île volante qui était l'avant dernière île de la voie numéros deux. Sur sa route Sergueï avait déjà eu pas mal de problème causé par des pirates et autres bandits. En effet l assassin ne voyageait pas le criant sur tous les toits et il avait pris le nom de Shiheru Otori, un ancien chasseur de primes à la recherche d armes mythiques et de valeurs. Mais son véritable but était tout autre, en effet, sa véritable mission que son général lui avait donné était de récupère des documents ultra secret du Gouvernement Mondial ai se trouvait à Colombia.

Son bateau accosta enfin dans le port de Colombia, mais Sergueï n'était pas encore arrivé dans les quartiers résidentiel de l'île qui eux se trouvaient en hauteur, à près de 300 mètres au dessus du niveau de la mer. Bien sur Sergueï ne savait pas voler et il devrait utiliser la montgolfière qui faisait chaque jour plusieurs aller retour afin de d assurer la navette entre le port et les quartiers résidentiels, transportant homme et marchandise. Heureusement pour notre futur révolutionnaire, celle ci était annoncée pour peu. Il la prit donc quand elle se présenta à l embarcadère. C était une grande montgolfière, avec pour brûleur un piro-dial géant. Sergueï ne savait pas grande chose sur ces objets, à part qu il provenait des îles célestes. Pour le reste, la montgolfière était tout ce qu il de plus banal, a part bien sur sa taille. Elle possédait une grande soute dans la quelle était entreposée tous les marchandises faisant le navette. Pour les passagers, il y avait a leur disposition deux ponts dans les quelles on pouvait facilement déambuler et se promener. Il y avait des bancs si l on voulait s'asseoir, ainsi que des salles enfin de pouvoir s abriter en cas de gros temps. Il y avait aussi un post de commandement, qui se trouvait au dessus de l ensemble et une grande voile rouge et blanche facilement reconnaissable.

Le trajet jusque aux quartiers résidentiels ne dura pas longtemps, bien que l énorme appareil ait du mal à quitter le sol au début à cause de sa cargaison. Mais il prit rapidement de la vitesse et de la hauteur pour arrive sur un autre débarcadère, mais cette fois percher à trois cents mètres de haut. Mais a cause d la taille de la montgolfière, ce débarcadère se trouvait en périphérie de la ville, afin d éviter tout accrochage avec les immeubles. Sergueï se demanda alors comment on y accédait, mais il eut alors la réponse. En effet, il y avait ici un système de routes célestes qui desservaient chaque immeuble de la ville. Sergueï parti alors à la recherche d un hôtel dans le quel il pourrait restait durant son séjour ici. Il regarda alors rapidement combien il lui restait de son pécule de départ. Il n'avait pas gaspiller inutilement et sur la somme qu il avait au départ, il lui restait près de 750000 . Sergueï jeta alors son dévolu sur un immeuble plutôt simple et il y entra. L’intérieur était au même diapason. Il alla voir l’homme au bar et i lui demanda si il avait une chambre. L’homme lui en proposa une et Sergueï la prit, alla y mettre ses affaires puis prit alors la direction d’un bar.

Il entra alors dans un petit bar qui ne se trouvait pas très loin de son hôtel. A l’intérieur il y avait plusieurs mais bientôt un homme se leva et alla voir la porte qui se trouvait au fond de la pièce. La patron du bar se leva dans la précipitation et cria :

« Non monsieur il faut pas passer par là, le chemin aérien de cette porte a été détruit! »

Mais le jeune homme fracassa la porte et tomba dans le vide. Tous les clients du bar allèrent voir à la porte ce qu’il allait advenir de cet homme qui tombait. On entendit alors :

« Je te parie qu’il se fracassera dans la mer d’ici peu !

Merde, on peu même pas le voir, on est trop haut ! »

Sergueï lui était sorti de l’établissement et il couru vers un endroit dégager du quel il pouvait voir la porte d’accès. Il prit alors son fusil Tochnost et il regarda en détail la chute du jeune homme. C’est au moment où celui-ci allait touché l’eau que de grandes ailes se déployèrent et il prit alors son envole. Il remonta puis il disparu derrière des immeubles qui étaient plus loin. C’est à ce moment là que Sergueï reconnut l’homme en question. En effet il avait déjà vu sa tête dans les journaux car cet homme avait pilié plusieurs îles. Sergueï remit alors son arme dans son dos, bien emballé pour ne pas l’abîmer. Il commença alors une petite promenade dans la ville, allant de petit commerce en petit commerce, achetant de temps à autres des fruits… Quand il reconnut l’homme qui avait sauté quelques temps auparavant. Il alla directement sur lui, mais il ne le vit pas, ses yeux étaient mi-clos. Sergueï se mit alors de façon à ce que l’homme le bouscule, se qu’il fit sans problème.

Mais au moment où l'homme aller percuter Sergueï, il vit que ce n'était pas l'homme qui était dans le journal, mais une personne qui lui ressemblait énormément et la seule façon de les différencier était une cicatrice au niveau du coup qui était difficilement repérable et qui pouvait induire en erreur n'importe qui, même les meilleurs. Sergueï était sur le point de s'ecartait, mais il était trop tard et l'homme le percuta. Tous les deux tombèrent à la renverse. Sergueï bondit sur ses pieds et tendit la main vers l'autre homme avec la figure la plus accueillante possible en disant:

« Veullez m'excuser, je ne regarder pas où j'allais. Je me présente, Shigeru Otori. Tenez pour me faire pardonner allons faire plus ample connaissance dans un bar! »

Sergueï avait parlé d'un ton amical qui lui était rare et il espérait que l'homme accepte sa proposition.

L’homme que Sergueï venait de bousculer se releva sans son aide, sûrement parce qu’il ne l’avait pas vu. Il s’excusa lui aussi d’avoir bousculé Sergueï et il accepta l’offre de ce dernier. Ils allèrent alors dans un bar ne se trouvant pas très loin de l’endroit où ils étaient. Ils entrèrent dans un bar avec une grande vitrine donnant sur la mer. Ils s’assirent alors à une table près de la vitrine et Sergueï admira l’immensité de la mer en contre bas. Atsuji, qui s’était présenté juste avant, commanda deux vers de rhum. Sergueï demanda alors un jus de fruit du pays, ainsi que de quoi ce restauré sommairement. Lorsque la commande arriva, il donna son verre de rhum à Atsuji, qui devait plus en vouloir que lui. Il vit aussi que l’homme était fauché, mais cela ne le dérangé pas de payer à sa place. C’est alors qu’Atsuji demanda à Sergueï :

« Alors... Shigure... tu m'a dis que t'étais sur Columbia pour quelles raisons déjà? J’ai un petit trou sur le coup. »

Mais Sergueï n’avait rien dit sur un tel sujet et il se demanda alors si son interlocuteur était encore présent. Il allait répondre quand d’un coup il demanda de nouveau :

« Mais dis-moi Johnny... tu penses quoi de cette vue? Moi je trouve ça reposant et terrifiant à la fois. »

C’est alors que Sergueï comprit qu’Atsuji n’était pas en train de l’écouter, mais qu’il avait perdu belle et bien la mémoire sur les quelques instants précédents. Il lui dit alors :

« Non, je suis Shigeru Otori, je vous ai bousculé juste avant et je vous ai invité à prendre un verre. Vous vouliez savoir pourquoi j’étais là, cela est simple. Je suis à la recherche d’armes de collections et par la même occasion je visite un peu le monde, mais vous vous êtes ici pour quoi ? »

La conversation continua entre les deux hommes. Sergueï remarqua alors un homme qui entra dans la pièce et qui alla s’asseoir directement au bar. Celui portait un sabre à la ceinture et il commanda un verre. Et commença alors à fixer du regard la table où était assis Atsuji et Sergueï. Il semblait qu’Atsuji justement ne l’avait pas remarquait et Sergueï le surveilla du coin de l’oeil. Sergueï remarqua alors que plusieurs autres personnes avaient prises position dans les alentours du bar. C’est alors que Sergueï comprit pourquoi ils étaient là. Lui aussi c’était trompé tout à l’heure sur l’identité de l’homme qui se trouvait devant lui et apparemment toutes les personnes qui avaient prises position étaient là pour les même raisons, la prime d’un homme qui n’était pas le bon. SergueÏ se prépara alors à un combat imminent. Il regarda alors Atsuji qui ne semblait pas comprendre et savoir ce qu’il allait lui arriver. Sergueï tenta alors de le prévenir de la situation, sans que les autres ne le voit, mais la tache était ardu et la conversation continua, comme si de rien n’était.

Atsuji possa alors deux questions à Sergueï :

« J'aurais deux questions à vous poser Chigeru si ça ne vous dérange pas... La première est avez-vous un but dans la vie à part collectionner les armes? Et la secondes et plus personnelle... Avez-vous une famille et est-ce que vous vous entendez bien avec elle? »

Sergueï allait lui répondre quand l’homme qui était au bar se leva et vient dans leur direction. Il mit alors une main sur l’épaule d’Atsuji tout en parlant avec une voix calme mais intimidante et en posant son autre main sur le pommeau de son arme de façon visible et volontaire. Il dit alors :

« Monsieur... veuillez me suivre j'aurais quelques mots à vous dire.

Euh vous ne voyez pas que je parle?

Oui mais je désirerais vraiment converser avec vous dehors un peu plus au calme. »

L’homme ne voulait donc pas faire de grabuge dans ce bar qui appartenait à des gens honnêtes qui n’avaient strictement rien à voir avec cette histoire. Il avait toujours sa main sur l’épaule d’Atsuji et d’autres personnes se levèrent alors prenant la direction de leur table, les encerclant. Sergueï voyait bien qu’Atsuji ne comprenait pas pourquoi ces gens se faisaient si menaçants envers eux. Atsuji se retourna vers Sergueï ignorant complètement l’homme blond qui serra sa prise sur l’épaule d’Atsuji dans le but de le faire se levé pour qu’il sorte de l’établissement. Il toisa d’un regard vide l’homme blond avant de dire à Sergueï :

« Excuse moi ! »

Sans aucun geste annonciateur une étrange énergie noire apparue sur le coté gauche d’Atsuji et qui entoura par la même occasion la main de l’homme qui était posé sur son épaule. Celui-ci ne réagi pas immédiatement mais bientôt il la retira violemment avec comme accompagnement un cri de douleur. L’aura noire de la main de l’homme resta encore quelque seconde puis disparu. Ils injuria alors Atsuji et il sorti son arme ainsi que les autres personnes qui étaient présentes. Ils leurs lança alors un regard et les hommes encerclèrent la table où Atsuji et Sergueï était assis. Finissant alors son verre Sergueï demanda à Atsuji :

« Des connaissances à toi ? Ils ne m’ont pas l’aire très l’amical. Bon, je vais vous laissez ! »

Sergueï se leva alors et commença à marcher en direction de la porte quand l’homme blond lui donna alors un coup de point au niveau du ventre en disant :

« Toi aussi tu restes ici ! »

Sergueï para simplement la main de l’homme déjà meurtrie par l’attaque d’Atsuji. Il l’a serra encore un peu faisant souffrir un maximum l’homme en face de lui. Il lui répondit alors :

« Une invitation à me joindre à la fête ! Généreux de votre part. »

Et accompagnant le geste à la parole Sergueï qui agrippait toujours le bras de l’homme l’attira à lui et il lui décocha une droite magistrale dans l’abdomen qui le mit immédiatement KO. Les hostilités étaient maintenant déclenchées. Les autres hommes du groupe attaquèrent alors Atsuji et Sergueï. Mais aucun des deux ne combattaient vraiment, cherchant plutôt à sortir du bar le plus rapidement possible. Lorsqu’ils arrivèrent enfin à la sortie, ils furent accueillis par d’autres personnes qui les attendaient depuis longtemps à l’extérieur. Mais dés ce moment là, les choses changèrent du tout au tout et bientôt Atsuji et Sergueï commencèrent à utiliser leur technique pour ce débarrasser de leurs attaquants.

Tout à coup, alors que les deux hommes combattaient, Atsuji demanda alors à un combattants qu’il lui faisait face :

« Pourquoi vous nous emmerdez en fait?

Pour la prime sur ta tête.

Une prime?

Oui celle de 35 millions de berry.

Je vois pas de quoi vous parlez mais je pense que vous feriez mieux de partir avant de réveiller le monstre qui est en moi...

Ta gueule et rends-toi sans faire d'histoires!

Tant pis. »

C’est alors qu’Atsuji souffla. Il prit alors une petite respiration quand tout un coup il commença à pâlir. Mais cela n’était rien comparé au reste. En effet Atsuji commença alors à perdre en taille e en masse musculaire et dans le même temps il lui poussé des ailes dans le haut du dos ainsi qu’une queue à sa base. Ses pieds et ses mains se munir alors de grosses griffes et des cornes apparurent alors sur sa tête. Tous leurs assaillants reculèrent immédiatement de quelque pas effrayé au plus au point. Une aura sombre entoura alors sa main, sûrement ici l’œuvre des pouvoirs d’un fruit du démon. Sergueï lui glissa alors :

« Sympa le costume, j’en veux un identique ! »

Atsuji fut parcouru d’un petit rire. Il regarda alors les personnes qui les avaient attaquées. Il les regarda alors droit dans les yeux et il leurs parla avec une voie certe changé mais toujours aussi calme :

« Vous voulez toujours en découdre ? »

Comme toute réponse leurs assaillants rirent la poudre d’escampette. Atsuji alluma alors une petite cigarette après avoir retrouvé sa forme d’origine. Il demanda alors à Sergueï :

« Quelque chose me dit que vous êtes pas totalement inconnu à ça.

En effet, mais avant tout partons d’ici, je n’ai pas envie de revoir la salle tête de gens comme eux et je n’aime pas être coupé lorsque je parle. Allons à mon hôtel, là bas nous serons à l’abri. »

Sergueï parti alors accompagné d’Atsuji en direction de l’hôtel où il avait loué une chambre. Ils y furent rapidement là bas et ils montèrent alors dans la chambre. Au moment où Sergueï referma la porte de la chambre, il fit bien attention à ce que personne ne les surveille. Lorsqu’il fut bien sûr de cela il commença alors à parler :

« En effet, notre rencontre n’est pas le fruit du hasard. Mais avant d’aller plus loin, je tiens à te dire que je n’ai rien à voir avec les types de tout à l’heure. Voilà, je suis moi-même un chasseur de prime et je collectionne les armes de mes cibles. J’avais dans l’idée de rajouter les tiennes à ma collection, car ta tête vaut une petite fortune qui est de 35 millions de . J’ai alors voulu de rencontrer, d’attaquer et te tuer pour avoir la prime, mais elle n’est pas sur ta tête. Il s’agit d’une autre personne qui te ressemble beaucoup, presque ton jumeau à la seule différence qu’il possède une grande cicatrice au niveau du cou. On ne peut bien sur rien voir de loin et la confusion peut être faite rapidement. Etant donné que je me suis moi-même fait avoir ces hommes aussi on fait cette erreur. On te prend donc pour un homme valant 35 millions de est non pour Atsuji. Il lui tendit alors un journal. C’est cet homme sur la photo. Maintenant pour toi si tu veux rester tranquille, il faudra absolument que tu le trouves et que tu le livres à la marine, sinon tu ne seras jamais en sécurité. Bien sur je vais t’offrir mes services pour ce boulot, comme dédommagement. Je prend juste ses armes et on fera cinquante cinquante pour sa prime. Ca te va ? »

Sergueï tendit alors la main vers Atsuji en attendant sa réponse.

Atsuji lu rapidement le journal que lui avait tendu Sergueï il se redressa alors vers lui et il demanda :

« En fait... Comment vous comptez vous y prendre pour le trouver et le capturer, sa prime est de 35 millions tout de même. Et puis le poursuivre à travers toutes les mers du monde ce n’est pas mon trip. Vous êtes chasseur de prime... vous devez bien avoir une méthode pour l’attirer ou le retrouver facilement non? Je ne sais pas des appâts à bandits qui marchent bien.

Déjà pour commencer, tutoies moi, sa fait vieux sinon. Après justement, si on suit un peu son parcours, on peu penser que sa prochaine destination sera ici, d’où le nombre élever de mes collègues. Pour le moment on a de la chance, il ne son que de bas niveau, mais les grosses pointures ne devraient plus tarder et là se sera une autre pair de manches. Le meilleur moyen serai d’obtenir les derniers rapports de la marine sur ses activités. Mais il y a un hic dans ce procéder. Premièrement toi, il pourrait aussi te prendre pour cette personne et ensuite de tel rapport ne sont pas facile à obtenir par vois légal. Seul possibilité, le vol, il va falloir entrer sans ce faire voir, parce que sinon on peu dire adieux à notre liberté, voir pour toi la vie. »

Cette idée était venue comme cela à Sergueï. Il avait enfin trouvé un moyen de s’infiltrer dans la base de la marine et cela en ayant un appui en cas de pépins. C’est alors qu’on entendi un brui, ou plutôt une rumeur provenant des escaliers. En effet, les chasseurs de prime les avaient retrouvé à l’aide de l’un de leur informateur ou l’un d’eux qui les avaient suivi de loin. Sergueï regarda rapidement par la fenêtre et il reconnu alors l’un des plus grand chasseur de prime du moment qui était dehors, attablé dans le coin de la rue. Sergueï savait que de l’affronter maintenant ne serait pas une bonne idée vu que la marine rappliquerait alors. Sergueï regarda Atsuji qui dit alors :

« Pfff, ils sont chiant !

En effet, mais sortirent maintenant équivaux à un suicide. Comme monter est maintenant impossible, il va nous falloir descendre ! Tien toi bien, sa va secoué !!! »

Sergueï mit alors un genou au sol. La rumeur se faisait de plus en plus nette et les chasseurs de primes envahissaient l’étage. La porte de leur chambres s’ouvrir alors et pile à se moment là Sergueï abatis son point au sol criant :

Tochki Meteyora !

Le sol éclate alors, se propagent ainsi à tout l’hôtel qui commença alors à s’écrouler. Mais le coup que Sergueï avait donné avait détruit par la même occasion la partie de la plate forme aérienne sur laquelle l’hôtel avait été construit. Tout le monde commença alors à tomber en direction de la mer, qui serait la tombe de la plupart des gens encore présent dans le bâtiment. Sergueï hurla alors à Atsuji de les sortirent de là, en montrant un plate forme se trouvant plus bas mais trop loin pour y aller sans volé. En même temps que l’écroulement de l’hôtel, un énorme nuage de fumées et de poussières s’était levé, dissimulant ainsi Sergueï et Atsuji du regard des chasseurs de prime encore présent à l’extérieur du bâtiment.

Sergueï et Atsuji continuai de tomber inexorablement vers le sol. Atsuji l’avait alors fixé Sergueï mais avec un regard vide. Sergueï Comprit alors qu’il venait de faire une énorme erreur. Il avait oublié le caractère amnésique de son compagnon qui lui en avait montrer des brides quelques instants auparavant. Mais les deux hommes continuaient de tomber et Sergueï avait conscience du danger qui les guettait car c’était tout deux des utilisateur de fruit du démon et une entrer aussi rapide dans l’eau les propulserait droit au fond de la mer sans ticket de retour pour la surface. Ils chutaient rapidement, mais Sergueï fit aussi très attention aux débris qui les suivaient, car si en plus il s’en prenait un il serais alors fichu.

C’est alors qu’il venait de dépassait la plate forme que Sergueï avait remarqué et qu’ils étaient environs à la moitié de la chute qu’Atsuji se réveilla de sa torpeur. Il ne prit pas le temps de réfléchir à la situation et il se transforma alors en un démon. Il déploya alors toute la voilure que ses ailes lui permettaient et il saisit Sergueï par la même occasion, mais avec sa queue et celle-ci c’était enroulait autour du coup de Sergueï. Sergueï étouffa immédiatement et il espérait que son compagnon lâcherait vite, très vite la pression autour de son cou. Les chasseurs de prime par contre n’avaient pas cette chance et ils continuaient de tomber vers leur tombe. Mais Atsuji avait énormément de mal à reprendre de la hauteur et la plate forme la plus proche était encore drôlement haut par rapport à eux. C’est alors qu’Atsuji utilisa son pouvoir pour sortir de cette mauvaise passe. En effet, l’aura noir se concentra autour de ses pieds et mains et lorsqu’il tira cela les propulsa vers le haut à une vitesse folle. Mais Atsuji ne se préoccupa nullement des débris qui se trouvaient sur leur chemin. Heureusement Sergueï était protégé par Atsuji, mais celui-ci dégusta sévèrement. Atsuji arriva enfin à se hisser avec Sergueï qu’il lâcha alors immédiatement. Sergueï reprit alors son souffle, se massant la nuque. De son coté Atsuji se frotter le crâne car il venait de percuter plusieurs rochers qui provenait de l’effondrement de l’hôtel. Sergueï réussit alors à se redresser tant bien que mal après avoir reprit son souffle quand Atsuji dit :

« Désolé... ha... ha... Je suis mort là!! Ha... ha... »

Sergueï allait lui répondre quand il vit arriver les marines qui commencèrent à les encercler. Sergueï Commença alors à enrager intérieurement et contre lui-même, car il venait une fois de plus de se faire avoir par les événements. Les marines avaient en effet leur base à proximité et avaient tout de suite rappliquer. Il calcula aussi qu’il ne possédait que quatre solutions pour faire face à cette situation. Heureusement pour Sergueï, les chasseurs de primes n’étaient pas ici et ils ne devaient pas encore comprendre se qu’il venait de se produire. Sergueï essaya alors de se lever, du moins fit semblant de rendre ça extrêmement difficile. Il leva alors les mains en faisant des signes aux marines mais ils levèrent alors leurs armes vers Sergueï. Un officier cria alors :

« Les mains en l’air ! On ne bouge plus ! Vous allez nous suivre pour répondre de ce qu’il vient de se produire. Tout cela est très louche.

Laissez moi vous expliquer. Sergueï tomba alors à genoux. Je peux tout vous expliquez, mais s’il vous plait à boire ! »

Sergueï regarda alors la réaction des marines. Il avait le choix entre quatre possibilités pour faire face à cette solution et elles étaient les suivantes : la première, ne rien dire, se laisser faire et finir sa vie dans les cellules d’Impel Down pour le restant de ses jours. Mais Sergueï savait que cela ne serait pas simple pour lui car il avait déjà eu à faire à des marines et ils ne manquèrent pas de rajouter à son dossier certaines charges mais Atsuji lui, si il avait de la chance, pourrait sans sortir si le vrai criminel était arrêté. La deuxième solution consistait à aller rendre visite aux poissons, mais ils venaient juste de rebroussaient chemin et Sergueï ne se sentait pas près pour le grand saut. La troisième solution était de combattre les marines, mais dans leur état, surtout celui d’Atsuji, c’était comme choisir la première. Mais Sergueï avait choisit la quatrième solution. Celle-ci consistait à se faire passer pour Shigeru Otori, le chasseur de primes et de livrer Atsuji à la justice purement et simplement. Sergueï aurait alors la vie sauve et l’argent. Un marine s’approcha alors de Sergueï avec prudence tenant une gourde remplit d’eau Sergueï but alors de grande gorgée d’eau puis il se leva de nouveau. Il leva alors les mains en signe de non hostilité car les marines aller remit en joue.

« Ne vous inquiétez pas, je suis de votre côté ! Je m’appelle Shigeru Otori, je suis chasseur de primes et là c’est ma cible. »

Il montra alors Atsuji du doigt. L’officier fit alors signe de baisser les armes et il permit alors à Sergueï d’aller chercher Atsuji toujours allonger mais qui maintenant rampait. Sergueï le releva alors et il lui glissa à l’oreille quelques mots :

« J’arrive »

Immédiatement après il lui donna un coup de point qui lui fit perdre connaissance après tous les évènements de la journée. Sergueï ramena alors le corps inerte d’Atsuji à l’officier qui lui fit signe de le donner à deux gardes sur le côté. Sergueï suivit alors les marines jusqu'à leur base. Là il fut conduit dan le bureau de l’officier qui se trouver être le comandant de la base. Celui-ci il demanda alors :

« Vous êtes peut être un chasseur de primes, mais comment expliquez vous se qui s’est passé à l’hôtel ?

C’est simple, je le combattait, en montrant le journal, quand il à utilisait une attaque qui a fait effondré l’édifice… »

La conversation continua et Sergueï leva les inquiétudes du marine les unes après les autres. L’officier décida alors d’offrir la prime à Sergueï, enfin Shigeru. Il sorti alors du bureau est Sergueï en profita pour récupérer les documents nécessaires à sa mission ainsi que les derniers rapport sur les agissements du véritable bandit qui ressemblé à Atsuji. L’officier revient alors avec la prime qu’il donna à Sergueï. Il le salua alors et lorsque Sergueï franchi la porte du bureau du marine et il dit :

« Mais j’ai encore une affaire à régler avant de partir d’ICI ! »